dimanche 30 septembre 2007

6 milliards d'Observateurs

Un homme ayant une vision normale ne peut pas voir à moins d'une quinzaine de centimètres. Pour ce qui est du mouvement, il faut regarder au niveau de la persistance rétinienne.

Ok mais si mon observateur c'est une boule avec 6 milliars d'observateurs dessus... Elle peut voir quelque chose cette boule ?

... (Seb : 10 minutes de réflexion, avant le prochain coup...)

Le type assis à côté de l'horloge au fait. Il attend quelle heure pour aller manger ? A 12h00 il est quelle heure sur la boule ?

Horloge relativiste totale et partielle

Voilà l'expérience, je pense que ça devrait faire avancer les choses :

Une horloge à aiguille, plate / bombée (TOUT est important ici).

Je mets autant d'observateur que je veux dans le 1/2 espace devant l'horloge, qui regardent l'horloge.

Ils sont soit fixes, soit en mouvement par rapport à elle.

Ils sont donc définis par (x,y,z) [(t)], t étant leur temps propre (et pas celui de l'horloge évidemment).

Quelle est l'histoire vue par un observateur quelconque, telle que projetée dans un film ?

La grande subtilité c'est - entres autres grandes subtilités - Qu'un observateur placé à 2 mm de l'horloge ne voit pas tout.

samedi 29 septembre 2007

Histoire du Système solaire


On va la présenter autrement, avec l'Histoire du Système Solaire. Comment voir cette histoire :

1) Sous tous les angles en étant fixe par rapport à lui
2) En se déplaçant à n'importe quelle vitesse n'importe où par rapport à lui

Procédure :

1) Je modélise mon système solaire comme un plan qui évolue dans le temps, donc "dans un grand tuyeau".
2) Je fais des coupes régulièrement espacées dans ce tuyeau selon autant d'axes que je veux
3) Pour chaque "série de coupes" j'obtiens une série de plans

J'obtiens un film particulier lequel ?

4) Je fais éventuellement des coupes réglières sur cette série de plans

J'obtiens un autre film particulier lequel ?

Aussi vite que la lumière !


Imaginons l'expérience des deux atomes que j'ai citée dans un post précédent. On crée son histoire sur un plan bidimensionnel.Découpé selon l'axe du temps, on voit le film de l'expérience selon le temps "normal".Découpé selon un axe quelconque on voit le film de l'expérience selon "un observateur en mouvement par rapport à l'expérience" (l'observateur 5D est plus précis, mais en attendant que vous le "voyiez" peu importe).
Conclusion, comment "voir" l'expérience en se déplaçant "presque aussi vite que la lumière" sans dépenser 1 seul kilogramme de pétrole brut ?
=> Découper, projeter, et "Voir l'expérience avec un angle à ras du papier
"Question pour plus tard : Que se passe-t-il quand je passe au bord du papier, et que je regarde "de l'autre côté" ?!
Question pour bientôt : Et si je tentais de regarder autre chose ?

Combien d'observateurs de quoi ?

Physicien Classique : "euh... qu'a-t-il de particulier le deuxième observateur pour ne pas pouvoir observer l'univers dans N dimensions mais seulement N-1?? il est trop fainéant pour faire la même observation que le premier?"

Où ai-je dit que le premier serait dans la dimension N-1 ?

Ils sont tous deux dans la dimension N par rapport à l'Univers Obervé de dimension N-1.

Question : Dans quelle dimension sont mes obervateurs (pourquoi seulement 2 ?), qui observent un Univers à 4 Dimensions selon cette définition ?

vendredi 28 septembre 2007

Vue d'Espace en Coupe

Physicien classique : "Le fait est que découper perpendiculairement à l'axe temps correspond à notre perception. Si on choisi de découper sous un autre angle, on aura alors la perception d'un autre observateur en mouvement par rapport à nous (dont le mouvement sera totalement défini par la façon dont on effectue la découpe)".

C'ette approche est 100% juste en ce qui concerne la théorie en cours, et je suis entièrement d'accord dans ce cadre là.

Mais moi je dis que c'est pas ça.

C'est une vision d'observateur à côté du premier, qui ne bouge pas par rapport à lui, mais qui observe l'Univers de dimension N-1 avec un angle de vue différent.

C'est donc pas tout à fait la même chose n'est-ce pas ?

Physicien classique : Je ne vois pas où est le problème avec la causalité.

Pour cause.

Les axes de l'espace temps

C'est le principe qui est important.

Si le temps peut s'imaginer comme continu, la mesure elle est discrète. Comment voir donc une telle expérience que celle des deux atomes ?

Voyons l'espace où se trouvent ces deux atomes comme étant une série verticale de droites, le temps partant de bas en haut.

Où est l'observateur ? A l'extérieur, donc en dimension N+1. L'expérience pouvant se placer sur une ligne droite, on peut la réaliser sans imaginer une cinquième dimension dans ce cas.

On voit donc un plan vertical devant nous, avec l'expérience dans la totalité de son histoire.

L'horloge de l'observateur permet de faire une découpe régulière de cet espace continu, afin d'en faire un film.

On peut découper selon l'axe du temps, mais on peut choisir de découper selon n'importe quel autre axe, pourquoi se limiter au temps ? Dans un espace physique ainsi pensé pourquoi une coordonnée aurait-elle plus d'importance qu'une autre ? Il n'y a aucune raison "à priori" de découper selon l'axe vertical.

On peut donc faire autant de films qu'on veut, dans toutes les directions du plan, proches de celles du temps, ou pourquoi pas proche de celle d'espace.

Que voit-on ?

Que doit-on interpréter en terme de causalité, directement en vue du film que l'on voit ?

Equation 5D

Atome (t) => Atome (t+delta t) ?

ou bien

Atome (t) => Atome (t+delta t) +- delta E(t) ?

D'un plan causal à l'autre, l'atome n'est évidemment plus le même. Il garde un lien avec son ancêtre précédent, mais a échangé de l'Energie avec l'Univers.

Quel plan causal ? Celui qui est observé par le physicien.

jeudi 27 septembre 2007

Définition de la Distance

Je crois qu'il faut raisonner par discrétisation pour définir la distance d'un tel Espace 5D.

t1 la terre est à un endroit défini, le vaisseau spatial à un autre.
t2 la terre à un autre endroit, le vaisseau à une autre

Le temps ne s'écoule pas pareil dans le vaisseau que sur la terre (il faudrait modéliser la trajectoire du vaisseau).

A t2, selon la terre quelle est la distance au vaisseau ?
A t2, selon le vaisseau, quelle est la distance à la terre ?

Quelles propriétés devrait avoir la distance définie ainsi ?

Ah et attention : Où se trouve l'observateur qui "voit" cette expérience ! Son temps propre sera lui aussi différent. Je pense que c'est lui qui doit arbitrer pour définir la distance.

5D encore et toujours

L'observateur est un point physique pas tout à fait comme les autres, mais il est aussi valable qu'un Soleil, un Trou Noir, ou un Atome. Donc 3 points extérieurs + 1 observateur = 4D, 4 points extérieurs + un observateur = 5D.

Voilà c'est tout. C'est fatigant à la fin ! :)

Le petit poucet

Je choisis un plan constitué par 3 corps dans l'Univers. Je lance ma fusée verticalement par rapport à ce plan, jusqu'à l'atteindre, puis je reviens à mon point de départ.

Où est mon point de départ ?

Réponse, il est indéfinissable mathématiquement. Il faut donc lui donner une existence physique dès le départ afin de définir son repère.

Il faut donc 4 corps physiques pour définir un repère dans l'Univers.

Conclusion : le Monde physique a 5 dimensions.

Attention : Je rappelle ici que l'observateur faisant partie du système, un monde bidimensionnel signifie une direction spatiale et une direction temporelle-causale liée à l'observateur. Avec deux dimensions spatiales ce monde n'existe pas puisqu'aucune expérience n'est possible.

Par ailleurs on notera que cette dimension est liée à l'observateur - expérimentateur, et qu'elle unifie la problématique quantique avec la Relativité générale. En effet les expériences de type Before Before, Jumeaux d'Einstein, et autres violation des inégalités de Bell, se trouvent toutes justifiées dans un espace 5-Dimensionnel où la causalité devient relative à l'observateur qui en fait l'expérience.

En 5 dimensions la causalité est absolue, mais comprise relativement (donc incomplètement) par tout observateur qui tente de l'approcher conceptuellement, ce qui justifie de même le 2ème Principe Entropique (Une partie d'un système ne peut pas avoir accès à la totalité de l'information de ce système).

mercredi 26 septembre 2007

Fractalité causale

S'il y a un observateur dans le vaisseau, combien de temps vit-il, que voit-il ? Peut-on lui envoyer un film vidéo depuis la terre sans que la transmission soit entravée par un effet doppler bizarrement accéléré - décéléré ?

Peut-on raisonnablement imaginer de réaliser une expérience où le décalage temporel serait notable à l'échelle humaine ?

Si on envoie deux vaisseaux dont le deuxième suit un trajet différent en boucle autour du soleil, quel genre de décalage aura-t-il par rapport à la terre, et par rapport au premier vaisseau ?

Le calcul ne fera-t-il pas apparaître une accélération discrète, qui appellerait à des notions fractales ?

6 mois et des singes

Je pose un problème tout simple. Si on envoie un vaisseau spatial à des vitesses qu'on sait faire actuellement, en visant le soleil (un peu à côté quand même ), combien de temps faut-il à la sonde pour arriver au point de diamètre opposé ? Est-ce qu'on peut faire ceci dans une durée de 6 mois / 1,5 ans / 2,5 ans / 3,5 ans... de façon à récupérer la sonde directement sur terre ?

On peut faire passer la sonde "sous le soleil" de façon à avoir une trajectoire "pile poil rectiligne" et en 3D c'est plus joli en plus :)

Dans le vaisseau spatial le temps s'écoule plus lentement que sur terre, à l'arrivée l'astronaute aura vécu moins de temps que sur terre, tous les atomes du vaisseau auront "pulsé" moins de temps.

Pour lui, tout sera plus vieux, rendez-vous compte, il aura vécu l'équivalent physique de disons 5 mois, et il "verra" 1 mois de plus de "causalité" sur place !

Comment cet astronaute va-t-il alors interpréter ce qui se passe sur terre ? La planète des singes vous connaissez !? :)

Maintenant plus dur. On envoie le vaisseau vers le soleil, dans le plan perpendiculaire à celui du plan terre-soleil, et ensuite on fait faire à ce vaisseau spatial plein de tours autour du soleil. Selon la RG qu'il n'y aucune raison de remettre en doute, l'accélération du vaisseau par rapport à la terre est énorme. La somme des accélérations / décélaration va conduire à un décalage non pas temporel uniquement mais causal remarquable pour le spationaute qui l'habite.

Reconnaîtra-t-il la terre quand il reviendra ? Sans doute que non à part quelques anciens vagues repères qui auront tenu le coup. Voyage dans un futur incertain, voyage dans la cinquième dimension.

mardi 25 septembre 2007

Et que je te tourne autour !


Je comprends très bien que vous commenciez tous par vous exciter sur cette fabuleuse nouvelle façon de "voir" les choses.

Aussi je vous laisse avancer sur ce terrain. Cependant sachez que nous sommes très loin d'être au bout du bout de ce que j'ai "trouvé".

Par exemple, quand vous aurez commencé à voir comment les Lois Physiques doivent être invariantes en 5D...

Réfléchissez à l'accélération.

Pas besoin de partir sur Mars pour accélérer par rapport à 1.

Il suffit que "2" tourne autour de "1" avec quelques spirales 3D, pour que ça accélère drôlement...

Les deux Jumeaux en 5D

Tout le monde connaît cette expérience de pensée d'Einstein, je ne reviens pas dessus. Le fait par contre qu'on peut la voir en 5 dimensions est absolument indéniable et remarquable.

Le Jumeau1 reste sur terre : Dimension t1.
Le Jumeau2 part, accélère, décelère, revient : Dimension t2.

Jusqu'à ajourd'hui on a considéré cette expérience que relativement à 1, en constatant la "jeunesse" de 2, sans en faire grand chose.


Et bien je dis que le postulat "Les Lois de la Physique doivent être indépendantes du référentiel choisi" doit s'appliquer.

Relativement à 2, qu'est-ce qui se passe quand celui-ci observe la terre ?

=> TOUT L'UNIVERS 4D ACCELERE ET S'ELOIGNE PAR RAPPORT A LUI (il faut se caler sur la terre en objet d'observation)

Donc on peut considérer que 2 "sort" de l'Univers 4D "1", suit son axe causal t2. D'ailleurs qu'est-ce qu'il note 2 ? :

Que les atomes de la terre décelèrent leur pulsation, puis l'accélèrent etc...

COMMENT cette observation simple est-elle perçue en 5D ?

=> Effet doppler, je m'éloigne de l'Univers tout entier, celui-ci réagit en effet doppler.

Que je reviens sur terre avec 2, je constate que tout l'Univers a accéléré son temps propre t1, tout est plus "vieux".

Conclusion : J'ai fait un voyage dans la Cinquième Dimension.

Tout voir, tout comprendre

Je vais rajouter une remarque qui aidera peut-être à éclairer un peu mieux ce dont il s'agit.

M'est avis que le problème c'est quand on "sait" qu'on est dans un espace à 4 dimensions mais qu'on continue à l'observer en 3.

Quand vous avez un espace en 2, c'est facile vous le voyez très simplement, la feuille de papier, plate ou courbée.

Déjà si on vous rajoute le temps, c'est plus difficile. Comment les observateurs "plats" de la feuille de papier passent-ils "d'une feuille à l'autre" ? Si ce n'est en plongeant dans la mystérieuse "Troisième dimension" ?

Oui mais si on est "dedans" on ne peut pas "voir" pourrait on rétorquer.

Certes alors il faut passer "dehors". Comment on fait ?

Nous ne sommes pas dans le présent. Nous sommes à l'origine de l'observation d'un objet 4D, dont nous pouvons observer l'évolution sous quantité d'angles différents, autour dans l'espace, temporellement déplacé dans des référentiels en mouvement...

Jusqu'à en faire le tour complet à t4 au moment initialement prévu pour la fin de l'observation.

De t0 à t4 nous aurons tout vu, tout parcouru, tout analysé, tout observé... Depuis la 5ème dimension.

lundi 24 septembre 2007

Vaincre les cônes de lumière

Pourquoi "vaincre les cônes de Lumières" ? Si O3 et O4 sont "corrélés", sont d'accord à t0. O3 pourra transmettre à O4 des informations relatives à son espace à disons t1, que O4 pourra analyser en t4, sur des informations totalement inacessibles en t1, en ayant donc une connaissance "supraluminique" sur ce qui se passe en t1.

QUANTIQUE 5D O4


Comment "voir" une expérience Quantique en 5D ? Eh bien tout dépend de l'observateur ! Ici, O1 a une information partielle, O2 une information totale, O3 est hors de l'expérience 4D et s'est placé en 5D, et O4 s'est placé lui aussi en 5D, mais loin d'être passif, "bouge" par rapport au volume 4D de l'expérience, et aura donc une causalité différente de celle de O3.

De fait quand O3 et O4 auront analysé leurs mesures communes, s'ils veulent être d'accord et travailler ensemble, alors ils devront revoir tous les deux leurs copies, pour se trouver un "plan de causalité commun" qui leur permette d'avoir un "écart minimal" selon leurs théories causales causales respectives afin d'en avoir une qui convienne aux deux.

Ou encore trouver le processus de transformation qui permette de trouver la causalité relative de O3, sachant O4 ainsi que son chemin 5D parcouru.

Le processus de transformation des Lois causales est donc fonction d'une causalité propre, et des chemins relatifs parcourus, en rapport avec l'obsrvateur et l'objet d'analyse observé.

dimanche 23 septembre 2007

Observateur mon ami !

En tant qu'observateur, je suis délimité dans l'espace, j'ai un bord (ma peau), et je suis délimité dans le temps, je suis né et je vais mourir. En géométrie, un ensemble de point de l'espace délimité s'appelle un volume, pas un espace. De même si on veut appréhender l'observateur comme objet quadri-dimensionnel, alors c'est un 4-volume plongé dans le 4-espace, pas un 4-espace.

Pour appréhender cette question et donc sa réponse, il faut comprendre ce qu'est la relation entre deux observateurs.

S'il s'agissait de deux 4 volumes plongés dans un 4-Espace alors la causalité serait absolue, et l'observation un leure total puisque tout serait déterminé.

La causalité relative, et le postulat de l'existence d'une réelle observation nécessaire à toute science, implique forcément que ces 4-Espaces évoluent librement dans une 5ème dimension afin de pouvoir justement choisir leur "angle" d'observation.

C'est ce que je disais plus haut ou dans un autre post, la cinquième dimension n'est pas une dimension absolue, c'est une dimension relative à l'observateur.

Ce qui signifie que l'observateur qui choisirait de "ne rien faire", serait alors dans une position de 4-Volume. Un observateur actif est dans une position de 4-Espace. C'est donc l'observateur qui "crée" la cinquième dimension, en fonction du point de vue qu'il choisit de prendre.

Un observateur 4-Dimensionnel ?


Seuls des espaces 4D Séparés permettent de rendre compte théoriquement :

- De la non simultanéïté
- De la causalité relative
- De la notion d'information

Une information n'a de sens qu'en fonction d'une causalité connue. La causalité étant relative, elle n'a de sens que dans un espace relatif à l'observateur comprenant sa causalité propre, donc ses causes initiales, son développement, et son présent.

Si on comprend en quoi le schéma du post précédent proposé permet de prendre en compte tout ceci, on comprend que pour O1 la méca Q s'applique sans aucune ambiguïté, alors que pour O2 c'est le déterminisme qui s'applique, et cela sans contradiction.

Par contre si on comprend la notion d'information, une information envoyée de O2 vers O1, n'arrivera pas dans le même temps relativement à O3, et donc sur une coupe 5D de l'expérience telle que vue par O3, en un temps disons t2.

Qu'est-ce que cela signifie relativement à O3 ?

Cela signifie que pour O1 la méca Q s'applique de t0 à t1, et qu'en t2, il doit revoir sa copie en déterminisme.

Donc, les théories actuelles ne sont que des dérivées partielles d'une théorie plus vaste, en 5D, RELATIVEMENT à un observateur que l'on pourrait nommer "communauté scientifique", par exemple.

Ceci étant dit, si on sait faire des intégrales, on peut donc trouver quelque chose d'intéressant.

Le Chat de Shrödinger en 5D

Si on veut observer l'expérience du chat de Shrödinger, il est nécessaire de se placer en 5 dimensions pour comprendre ce qui se passe.

Selon la théorie quantique O1 ne sait pas ce qui se passe, et la "réalité" serait donnée par l'équation de Shrödinger quant à la vie ou la mort du chat.

Selon O2 c'est simple il voit directement si le chat est mort ou vivant... Avec un décalage temporel évidemment.

Quant à notre ami Einstein qui observe tout cela... Que doit-il en déduire quant à la réalité physique du chat, de O1, de O2... Et de lui même ? Soit-il se considérer comme une entité continue ou discrete ? Quant est-il du rapport entre le Einstein"T0" et le Einstein t3 ? Si l'observateur n'est pas la même chose entre t0 et t3 Qui ou Quoi observe quoi exactement ?

mercredi 12 septembre 2007

La Cinquième Dimension


L'observateur est désormais défini en rapport avec l'objet comme étant lui même un espace fermé 4D, séparé de l'objet, lui même espace 4D.

De ce fait on peut, connaissant des conditions initiales, et connaissant ce qui sort de l'espace à mesurer - sans donc "forcer la mesure", uniquement en tenant compte de ce qui sort - avoir une idée extrêmement précise de ce qui reste.

Cela signifie aussi que la causalité n'est pas absolue, elle ne peut être comprise par un espace d'observation que dans la mesure de la connaissance acquise, et n'est pas consensuelle.

Si deux observateurs ont une vision causale consensuelle de l'objet à mesurer, alors ils ne sont pas dans des espaces séparés, et doivent être considérés comme faisant partie d'un même espace d'observation.

La cinquième dimension est la dimension propre de l'observateur.

Problème quantique à 5 dimensions

Soit un atome d'hydrogène isolé. En première approximation simple il constitue avec sa sphère d'espace proche un système 4 - dimensionnel propre.

Etant donnée l'émission de son électron, capté par un appareil de mesure, qui mesure son point d'impact, ainsi que sa quantité de mouvement au moment de l'impact.

Où se trouve le proton ? A quelle vitesse va-t-il relativement à l'appareil de mesure ?

mardi 11 septembre 2007

5 dimensions, et information


Si le temps est consensuel entre deux espaces quadridimensionnels qui sont en observation l'un par rapport à l'autre, alors ils ne sont pas isolés.

Le lien causal entre les deux systèmes, est donc basé sur un échange d'information, porté par un flux énergétique bi-directionnel.

De sorte que l'espace 1) pour avoir des informations sur l'espace 2) doit le modifier en conséquence pour ce faire.

L'information liée alors à "ce qui a été enlevé", permet d'avoir une information complète.

Les deux soleils, problème à 5 dimensions


Si donc on suit le raisonnement. On est en droit d'arriver à une conclusion assez simple, quoique surprenante et assez inhabituelle.

Si l'on veut "observer" un objet qui soit "isolé", nous sommes dans l'obligation de considérer l'observateur comme extérieur à l'objet. Pour que l'observateur soit extérieur à l'objet, nous sommes dans l'obligation de considérer qu'il se trouve dans une dimension N+1 par rapport à la dimension N de l'objet.

Einstein s'est placé dans la dimension 4 pour observer un espace à 3 dimensions.

Il s'avère que se placer en dimension 5 pour observer un espace à 4 dimensions donne des résultats tout à fait intéressants, ne serait-ce que dans l'analyse du trou noir isolé, du problème des deux soleils, de celui de la réalité physique de la réduction de la fonction d'onde.

C'est alors considérer l'espace de l'observateur comme étant 5 dimensionnels, et tout objet "apparemment" 3-dimensionnels, soit, "isolé en première approximation" comme étant un objet 4 dimensionnels de fait.

Ou encore, intégrer directement comme étant un saut dimensionnel la différence fondamental du temps propre à deux systèmes isolé, non pas en tant que temps consensuel, mais en tant que causalité propre au système, causalité liée uniquement au repère choisi pour la mesurer.

lundi 10 septembre 2007

Le problème des deux soleils chapitre 4


Dans un Univers à 4 dimensions, l'espace autour d'une masse peut se visualiser en coupe, par une nappe courbée avec un creux. De sorte qu'au lieu de parler de force d'attraction, on parle de géodésique sur un plan non euclidien pour les corps massifs passant à proximité.

Dans une Univers à 5 dimensions, un Univers qui permet de placer l'observateur comme extérieur à un espace 4-dimensionnels... A quoi correspond une sphère massive isolée ?

En coupe par rapport à la dimension de l'observateur ?

samedi 8 septembre 2007

Un trou noir

Je reviens sur le problème des deux soleils que je vous invite à résoudre, au moins partiellement.

Il se trouve que relativement à l'observateur et à l'information Penrose et Hawkings ont des positions quelque peu divergentes. Penrose parle de la réduction de la fonction d'onde comme d'un phénomène physique réel pouvant avoir un lien avec la conscience, et Hawkings nie cette interprétation se rangeant du côté de Bohr quant à son altercation avec Einstein sur le sujet.

En résumé Einstein voulait trouver "une réalité en soi", là où Bohr soutenait que la théorie n'était rien d'autre qu'un "moyen prédictif". En quelque sorte la question de la nature de la réalité en rapport avec sa description en termes physiques est le problème essentiel posé. Le modèle physique peut-il être réellement quelque chose dont les concepts de base peuvent ou doivent être en relation avec des objets "réels" ?

Si les deux soleils évoluent en trou noir, puis par évaporation il y a création de soleils, de particules lourdes, de gaz galactique, de systèmes solaires, puis de nouveaux trous noirs... à l'infini... On est sur une position fictive bien que séduisante.

Parce que l'observateur qui suit l'évolution dans sa dimension propre (la cinquième), doit pour ce faire recevoir de l'information.

*** Donc la boîte rayonne forcément vers l'extérieur. Donc elle n'est pas isolée dans l'absolu, et c'est la réalité. Le système isolé n'existe pas ***

Il reste alors finalement une seule option possible

*** Quelque chose "entre" dans la boîte en retour de ce qui est émis. Inférieur, égal, ou supérieur, mais quelque chose ***

Le système évolue donc de la même façon qu'un trou noir local.

jeudi 6 septembre 2007

Il n'y a de relatif que l'observateur

Pour en revenir au problème des deux soleils, et à celui de l'espace des mesures propres. Il faut arriver à la conclusion qui s'impose sans aucun doute :

Il n'y a de repère relatif que par rapport à un observateur. De sorte que le seul repère particulier qui existe dans tout l'Univers c'est le sien propre, celui qui est lié à soi même. Il est donc à la fois relatif (il dépend du soi, de l'observateur), et absolu (il englobe tout comme faisant partie de ce qui est observable).

Ultimement si la Science est cohérente avec elle même, elle ne peut se contenter de prédire ce qui se pourrait se passer dans un repère relatif à tel ou tel objet. Tant qu'un obvservateur véritable n'est pas mis en face de l'expérience et la vit par lui même il est absolument impossible de dépasser le "peut-être" pour aller vers le "vérifié" de passer de la prédiction à l'expérience véritable.

Cela signifie que Ce qui existe n'a pas 4 dimensions comme le dit la Relativité Générale, Ce qui existe n'a pas non plus 12 dimensions comme voudrait le prévoir la théorie des cordes.

Ce qui existe a 5 dimensions fractales, dont 3 d'espace, une de temps - causalité, et une dimension relative à l'observateur, qui a sa propre causalité interne interdependante avec la causalité externe.

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