tag:blogger.com,1999:blog-50237988660957603302024-03-13T14:40:35.773+00:00Pour une Science de l'EspritTout système formel est le résultat d'une motivation donnée.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.comBlogger116125tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-21799560406799534992014-12-23T14:08:00.001+00:002014-12-23T14:08:48.061+00:00Expansion du blogCe blog est en expansion à une autre adresse : <a href="http://www.espritscience.glibre.org">http://www.espritscience.glibre.org</a>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://www.espritscience.glibre.org" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSQ3bwPU6KPAJnpT5LcnpTPqUSZ0_Ae4LoUBbizI1P8HqFbmgllea7T5gI7eqkMQvKCfTtIMQL-fOQNi6dDlmg_Mv50fC-1kV2AATkk3fS5XXGvGhzjeOTDl2D6JzsdQe_-3RgFt5yWq4/s320/Pagodroma_nivea_in_ross_sea1.jpg" /></a></div>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-15505717737427794212014-07-29T13:24:00.001+00:002014-07-30T15:58:51.035+00:00 Autre Métrique, autre CosmologieUne autre métrique de l'espace-temps est possible, qui en change le paradigme fondamental. Elle est fondée sur la réflexion que, la vitesse de la lumière étant donnée, invariante selon l'observateur, la définition du temps fondée sur un élément local tel que <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Seconde_%28temps%29" target="_blank">celle fondée sur l'atome de Césium</a> ne convient pas.<br />
<br />
En effet il n'y a pas toujours eu d'atome de Césium, et il n'y en aura pas toujours non-plus dans l'histoire de l'Univers.<br />
<br />
Qui plus est, on constate qu'il faut tenir compte du champ gravitationnel et de la vitesse, pour adapter le temps mesuré en R1, en référence à tel ou tel référentiel R2.<br />
<br />
Or ceci est la poule et l'oeuf ! Car vitesse et champ gravitationnel ne peuvent se définir sans que le temps soit préalablement connu ! Donc pour mesurer le temps, je dois d'abord connaître le temps, qui me permet d'établir vitesse et gravitation me permettant de... mesurer le temps... <br />
<br />
Maintenant on peut se demander : mais est-il possible de définir le temps autrement, étant donnée la seule base qui serait la vitesse de la lumière ? Oui ! C'est possible ! Et c'est possible en référence à un changement axiomatique concernant la définition de notre métrique spatio-temporelle.<br />
<br />
Nous acceptons le fait que l'Univers est en expansion, mais ce qui est un point de vue là aussi parfaitement relatif. C'est équivalent à dire que l'Univers est stable mais que ce sont les objets physiques et les vitesses qui sont en contraction, <a href="http://espritscience.blogspot.fr/2013/09/projection-logarithmique.html" target="_blank">comme nous l'avons montré lors de notre précédent post</a>.<br />
<br />
Or que ce passe-t-il dans un tel Univers ? La Fréquence, ou la Longueur d'onde de la lumière se décalent "vers le rouge", que ce soit dans l'espace, en fonction de la distance relative de deux objets, ou dans le temps si l'on considère un "même objet physique" entre deux dates (car il s'éloigne), relativement à l'observateur.<br />
<br />
Nous définissons alors comme unité de distance d (et donc aussi de temps = d/c) : la distance à partir de laquelle le décalage spectral de la lumière est divisé par deux (ou par 10, ou par n'importe quelle fraction) dans l'Univers Observable.
Cette définition ne dépend pas du temps, car tant que de la lumière est observable on peut toujours établir la mesure de cette unité.<br />
<br />
On notera ici que cette possibilité de définition est permise par une autre propriété fondamentale de la lumière : sa dualité onde / corpuscule. C'est donc en comparant directement les distance des longueurs d'ondes mesurées que l'on pourra établir notre unité.<br />
<br />
De plus pour tout temps, un élément quelconque (Cesium, mais tout aussi bien autre chose si dans l'Univers il n'y a pas un tel atome présent au temps ou à la place de d'observation considéré), placé en deux endroits distants, on peut noter mathématiquement le décalage spectral obtenu, qui nous donnera donc une mesure de notre unité qui ne dépend pas d'éléments particuliers se trouvant là ou pas dans l'histoire de notre Univers.<br />
<br />
La conséquence première de cette définition est donc une définition du temps ne dépendant que de la lumière et de l'espace(t) relativement à l'observateur. Ceci éliminant donc toute référence à un "élément atomique" épiphénomène non-indépendant de l'observateur quel que soit sa nature ou l'époque considérée.<br />
<br />
La conséquence seconde est que cette axiomatique impose de revoir la métrique de l'Univers sur cette base, et donc y compris les opérateurs de transformation entre observateurs. Il n'est pas donné que deux observateurs puissent s'accorder, hors l'accord sur cette base de définition, sur un "même espace-temps", autrement dit sur la présence dans ce "même espace-temps" des mêmes "objets physiques", selon leurs vitesses relatives (ou champs de gravitation locaux). Mais ils partagent pourtant une définition invariante entre eux, de la lumière, de la distance et du temps, qui ne dépend que de la compréhension de l'expansion / contraction de l'Univers.<br />
<br />
De la même façon, la définition historique du mètre s'est fondée sur la seule compréhension de la courbure de la surface de la terre. Parce que l'on a intégré le fait que la courbure de la terre définissait une sphère on a pu définir son diamètre comme unité de distance.<br />
<br />
Parce que l'on a intégré le fait que l'Univers est en expansion/contraction, on peut définir le temps sur le seul décalage spectral de cette même lumière dans l'espace.<br />
<br />
Comment ces deux approches sont-elles comparables ? L'acceptation de la courbure de la terre, permet d'en calculer la valeur, il faut et il suffit d'observer, comment les angles ou hauteurs apparents changent avec la distance.<br />
<br />
Si on n'accepte pas la courbure, on interprétera la mesure comme due à "la distance du soleil", si on accepte la courbure et la très grande distance du soleil, et donc le parallélisme local de ses rayons, on en déduira le rayon de la terre sphérique.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkfhmP7Soak4MF6Ba3RJr1C3FXN0BekX7qY1STF63s-iw7Wf24L3sXcskxuJmci0drnTaDyYOggjovy7PJw1j2fdQguZe8avANObQPoVatt0Ivhz2vE9qmnI3Pvqoia497kyAMfKedhDw/s1600/courbure.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkfhmP7Soak4MF6Ba3RJr1C3FXN0BekX7qY1STF63s-iw7Wf24L3sXcskxuJmci0drnTaDyYOggjovy7PJw1j2fdQguZe8avANObQPoVatt0Ivhz2vE9qmnI3Pvqoia497kyAMfKedhDw/s1600/courbure.jpg" height="145" width="320" /></a></div>
<br />
De la même façon concernant l'univers, si on accepte l'expansion / contraction, et l'invariance de la vitesse de la lumière, alors on en déduit des unités de distance et de temps qui ne dépendent pas d'un autre élément.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpdtXFuRMR_eZqthfS6RRlPM7PRWkHhI3bDP1PVnP5HILd-pGb4Q9ry4BTNZ0GHvkEB3SpW7iIhTbg0GarVXcvoCkct92_ucu_IOf13hhwqwRR8ZGZCpc1sNwjB9QgXfZPn5YP2u9toKs/s1600/hubble.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpdtXFuRMR_eZqthfS6RRlPM7PRWkHhI3bDP1PVnP5HILd-pGb4Q9ry4BTNZ0GHvkEB3SpW7iIhTbg0GarVXcvoCkct92_ucu_IOf13hhwqwRR8ZGZCpc1sNwjB9QgXfZPn5YP2u9toKs/s1600/hubble.jpg" height="256" width="320" /></a></div>
<br />
Mais alors on ne peut plus du tout considérer l'Univers de la même façon. La métrique ayant changé en une métrique expérimentale plus simple, plus fondamentale, la façon même de concevoir la relation Univers / Observateur n'est plus du tout la même.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEis_CjXYv_9JhsDyc9E0wzvJmb4yI-m4lsooEcsya_Vcaq7c8TUqUBXXNwwXi_BvyntyxQZ6FbwhW9fxR3b6i-WtQtPjQB00d-CIPKR34J-aQgrHgIWws1oQZ55mrOE3wX3eO0NImPRtpM/s1600/univers_logarithmique.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEis_CjXYv_9JhsDyc9E0wzvJmb4yI-m4lsooEcsya_Vcaq7c8TUqUBXXNwwXi_BvyntyxQZ6FbwhW9fxR3b6i-WtQtPjQB00d-CIPKR34J-aQgrHgIWws1oQZ55mrOE3wX3eO0NImPRtpM/s1600/univers_logarithmique.png" /></a></div>
Il faut tout revoir.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-48053039569540027272013-09-12T09:15:00.000+01:002013-09-12T09:15:31.036+01:00Projection logarithmiqueOn peut réfuter la notion de big-bang par la notion de projection. Si en effet on définit le temps, <a href="http://webinet.cafe-sciences.org/articles/un-erreur-de-genese/">non plus comme la variable "t" habituelle, mais comme θ</a> avec :<br />
<br />
<div style="text-align: center;">
θ = log(a)</div>
<br />
Où "a" est le facteur d'échelle de l'Univers, c'est à dire la distance en expansion apparente dans le temps entre les galaxies éloignées (cf <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Hubble" target="_blank">loi de Hubble</a>).<br />
<br />
En suivant ce changement de référentiel, au lieu de se projeter dans un Univers en expansion, nous avons un Univers de taille finie, immuable, mais ce sont les objets qu'il contient qui sont en contraction.<br />
<br />
Alors on peut s'en faire une idée avec cette projection où le système solaire est au centre (centre arbitraire, car depuis tout point de l'Univers on aurait une image similaire, il ne faut pas y voir un quelconque centre absolu) :<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2S0NzScKGPhfpDDuLBI_G0nFb-u33v_aR40MuVc3s67oJGIsGwXaBZFLC2ayv4m3jpPWh-o6sRzH7orRFZKrg5g1C2z4bFz2sdqGo3okmJORYAtW4tulaqPj8Cw8U9f9jb4d6dK4OeCQ/s1600/Observable_universe_logarithmic_illustration.png" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2S0NzScKGPhfpDDuLBI_G0nFb-u33v_aR40MuVc3s67oJGIsGwXaBZFLC2ayv4m3jpPWh-o6sRzH7orRFZKrg5g1C2z4bFz2sdqGo3okmJORYAtW4tulaqPj8Cw8U9f9jb4d6dK4OeCQ/s320/Observable_universe_logarithmic_illustration.png" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Univers logarithmique (<a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Observable_universe_logarithmic_illustration.png" target="_blank">wikimedia</a>)</td></tr>
</tbody></table>
Les bords sont donc les limites de l'Univers visible d'où provient la lumière la plus ancienne. Dans l'imagerie de l'Univers en expansion, l'instant suivant, les objets "au bord" sortent de l'Univers visible, et sont remplacés par les objets les plus proches du bord.<br />
<br />
Mais ici c'est un peu différent comme interprétation, on peut considérer un Univers en transformation continue, où c'est l'observateur lui-même qui change d'échelle de perception instant après instant le tout restant dans cette relation d'observateur - observé immuable.<br />
<br />
Il faut méditer un bon moment sur ce phénomène en mouvement pour s'en faire une idée. Mais ce qui m'a fortement percuté quand j'ai fini par comprendre cette projection après avoir longuement travaillé la Relativité Générale (j'ai trouvé cette image récemment !), c'est le lien que j'ai fini par réaliser avec le mandala de kalachakra :<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmQ4YoyiBuML_4LJdQNsRE7_E1jANR2chq7Z2_4QzjRN1B8Mj8FV6hsro14m9WVRrDv5Agyb3NobIzlKRlWoka4Pz_UopM1aUxeccvQUkzIzzOC92k1LqKo92IImwb9-58njJ5WmIGANM/s1600/KalachakraSera.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmQ4YoyiBuML_4LJdQNsRE7_E1jANR2chq7Z2_4QzjRN1B8Mj8FV6hsro14m9WVRrDv5Agyb3NobIzlKRlWoka4Pz_UopM1aUxeccvQUkzIzzOC92k1LqKo92IImwb9-58njJ5WmIGANM/s320/KalachakraSera.jpg" width="319" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Mandala de Kalachakra (<a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:KalachakraSera.jpg" target="_blank">wikimedia</a>)</td></tr>
</tbody></table>
<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Kalachakra" target="_blank">Kalachakra</a> qui signifie <i>cycle temporel</i>, ou <i>la roue du temps </i>est un traité bouddhiste qui date du IXe siècle...<br />
<br />
C'est ce point qui semble le plus troublant. Tout comme dès la découverte des textes les plus avancés sur la sagesse, la causalité et les divers éléments du Bouddhisme il fut troublant d'y découvrir des niveaux de perfection logique insoupçonnables, qu'on a du mal à accepter au premier abord comme étant d'une source initiale datée d'il y a 2500 ans...Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-78033260546334301302012-06-15T08:14:00.003+01:002012-06-15T08:14:45.752+01:00Perspective libreEvoquons maintenant, après une réflexion d'un an un mois et un jour, un <a href="http://perspective-numerique.net/">point de fuite</a> relativiste quant à la réflexion théorique menée.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi49cVJpuJCsEt-F6rysi3vJT5XDE3q8S2jfy8P_w_c6s8HdYshgF_-9ZNefUOW4kzKwZsQMlRFUEicGvvsJm8F4nT9AIwHFrMx1ZIGGPmVW9PWAHUuAdf2yaH4G02WaNYT2wRd8LMeQlA/s1600/glibre.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="214" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi49cVJpuJCsEt-F6rysi3vJT5XDE3q8S2jfy8P_w_c6s8HdYshgF_-9ZNefUOW4kzKwZsQMlRFUEicGvvsJm8F4nT9AIwHFrMx1ZIGGPmVW9PWAHUuAdf2yaH4G02WaNYT2wRd8LMeQlA/s320/glibre.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">ḡ dit "g libre"</td></tr>
</tbody></table>
Afin d'éclairer ce point fondamental constitué par le choix d'une perspective je donne un exemple. A la question :<br />
<br />
<br />
<br />
<center><b><i>A quelle distance se trouvent deux droites parallèles ? </i></b></center><br />
<br />
Un <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9om%C3%A9trie_euclidienne">Euclidien</a> répondra que l’on peut y répondre en traçant le segment perpendiculaire aux deux droites puis en donnant sa mesure.<br />
<br />
Un tenant des géométries <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9om%C3%A9trie_non_euclidienne">non-euclidiennes</a>, répondra que, sans avoir précisé préalablement la métrique de
l’Espace, cette question n’a pas de sens, car « deux droites parallèles »
peuvent se couper, peuvent être multiples ou simples, selon la
densité de courbure de l’espace qu’il faut connaître en tout point. Cela ne permet pas de définir une distance unique telle que définie par les euclidiens.<br />
<br />
Un <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Relativit%C3%A9_g%C3%A9n%C3%A9rale">physicien relativiste</a> répondra qu’il n’y a pas de métrique abstraite valable, mais
que seul un phénomène physique déterminé pourra tenir un tel office. Ce
qui en théorie de la Relativité se manifeste par la distance parcourue
par la lumière entre deux événements de l’espace-temps. Que deux rayons
de lumières suivent des géodésiques par définition. Qu’on appellerait
« parallèles » deux rayons de lumière pour telle ou telle propriété, ne
permettrait pas en soir d’établir une « distance » entre deux "traits de lumières", puisque la métrique
sera déterminée par la répartition des masses des objets physiques, qui
évolue en même temps que s’effectue le parcours luminique ainsi défini.<br />
<br />
Celui qui prétend déterminer qu’il a
« compris » quelque chose n'a donc compris qu’une convention à
laquelle on décide d’adhérer et que l’on pourra réfuter par l’adhésion à une
autre convention.<br />
<br />
On ne peut donc pas dire qu'il a "compris" quelque chose indépendamment des prémisses auxquelles il a souscrit préalablement.<br />
<br />
On ne peut pas dire non plus qu'il qu'il n'a "pas compris" du tout, ni les deux, ni l'absence des deux.<br />
<br />
C'est pourquoi j'ai voulu synthétiser cela par le ḡ dit "<a href="http://www.glibre.org/">g libre</a>". On pourra donc dire sans ambiguïté, selon la perspective ainsi définie, que l'on a ḡcompris.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-52175992554755928122011-05-17T15:13:00.002+01:002011-05-17T15:16:18.044+01:00Intégrale de CheminSi donc vous avez suivi l'exposé des posts précédents vous avez compris des fondamentaux très importants :<br />
<br />
- Selon la vitesse et la direction de l'observateur, ce qui peut être défini comme un enchaînement causal pour l'un peut-être défini comme un seul objet conceptuel à l'autre.<br />
<br />
- Selon la vitesse et la direction de l'observateur ce qui peut-être défini comme des objets conceptuels séparés pour l'un peut être défini en un enchaînement causal à l'autre.<br />
<br />
- Selon la vitesse et la direction de l'observateur le rapport à la causalité est un pur choix decriptif qui se justifie mais n'a pas de réalité absolue.<br />
<br />
- Selon la vitesse et la direction de l'observateur les échelles spatio-temporelles conceptuelles et causales sont des choix liés à des observations cycliques dans l'espace pour les concepts, et dans le temps pour la causalité, dont la fréquence pour l'un est un espacement pour l'autre.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhudz3u7ZK6UL2qdVJl5wo_6gsga79xHEuTUOCewTODMvRrK-z3yoWEE2yUyz3ERNwiLTb-Pz0V4iTgeqxPTQqhkRnvQZ-wqoqUdKMTiPzDqgiVxQV0FnQ6NsZR9J3LKQIs-zTyp7eshEY/s1600/silver_surfer.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhudz3u7ZK6UL2qdVJl5wo_6gsga79xHEuTUOCewTODMvRrK-z3yoWEE2yUyz3ERNwiLTb-Pz0V4iTgeqxPTQqhkRnvQZ-wqoqUdKMTiPzDqgiVxQV0FnQ6NsZR9J3LKQIs-zTyp7eshEY/s400/silver_surfer.png" width="350" /></a></div><br />
<br />
Il n'y a donc pas de réalité objective à théoriser, mais des théories qui ne sont valables que de façon limitée dans l'espace-temps, et dont l'echelle descriptive maximale et minimale sont liées à la durée de vie de l'observateur, et à la somme des informations qu'il a accumulée.<br />
<br />
Il n'y a pas d'observateur, il y a un flux d'observations qui se transmet de proche en proche.<br />
<br />
Il n'y a pas de flux d'information, il n'y a qu'une pure connaissance interdépendante.<br />
<br />
L'intégrale du chemin détermine la connaissance.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-45514396157931201692011-01-08T14:46:00.000+00:002011-01-08T14:46:02.571+00:00Le monde de la forme : le "Galyndre"Si donc O1 filme pendant 30s à 24 images / sec, et que Oi a filmé sa 720ème image en "p", nous cherchons donc à savoir à quel temps "t" pour O1 Oi a commencé son film.<br />
<br />
Nous devons donc calculer le temps propre pour Oi sachant que t = gamma ti .<br />
<br />
La prise de deux images consécutives, soit une seconde pour Oi, correspond donc à gamma secondes pour O1.<br />
<br />
Oi a donc démarré son film à gamma * 30s dans le passé pour O1.<br />
<br />
Oi a donc réalisé un film plus long dans le passé, et plus long dans le futur que O1.<br />
<br />
Et donc le film réalisé par Oi montre un film très différent de celui de O1. Où il lui semble percevoir une "cause" de la construction du "cylindre", ainsi qu'un "effet", deux choses n'a pas perçu O1.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgz129nSgfzzzXu7rcME5ab3-0IkEUlFbRX1DVtDfL4KrRaNbu2O60T6Am9u8AwRT9SSHueUbiQ1LbNcUlaANx7iuX_en3-S-cWv-qh6okZNHks2RUZF8ZPSnioqmRw4PPfU9qRx1SXWg/s1600/logo-cosmosstructure%255B1%255D.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgz129nSgfzzzXu7rcME5ab3-0IkEUlFbRX1DVtDfL4KrRaNbu2O60T6Am9u8AwRT9SSHueUbiQ1LbNcUlaANx7iuX_en3-S-cWv-qh6okZNHks2RUZF8ZPSnioqmRw4PPfU9qRx1SXWg/s1600/logo-cosmosstructure%255B1%255D.jpg" /></a></div><div style="text-align: center;"><i>Cylindres en pagaille...</i></div><br />
Mais ce n'est pas tout. Pour autant que Oi aille suffisamment vite, ou bien que la "cause" et "l'effet" soient suffisamment "proches" du "cylindre constitué", Oi avec la construction des longueurs, peut même voir un objet compact, contenant les éléments sucessifs ensemble, et donner à cet objet ainsi perçu un nom très différent de "cylindre" comme l'a nommé O1, et le nomme "Galyndre".<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirs02YUqPZ77LNiE3Qzdf9fZPoLsApVUQA1g7uBge7usF8fi7o2s0hsf_H_8_JeUZqK25nU4D4vUIeHVoWQ69dYT71McB5xxOFtKOh_ISPZBeIf4RjpiJnp2oL6S5SjXHhnKseyqv0yeE/s1600/Galaxie_peinture.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirs02YUqPZ77LNiE3Qzdf9fZPoLsApVUQA1g7uBge7usF8fi7o2s0hsf_H_8_JeUZqK25nU4D4vUIeHVoWQ69dYT71McB5xxOFtKOh_ISPZBeIf4RjpiJnp2oL6S5SjXHhnKseyqv0yeE/s1600/Galaxie_peinture.jpg" /></a></div><div style="text-align: center;"><i>Un Galyndre en rotation ?</i></div><br />
Le "Galyndre" a une durée de vie courte pour Oi, et est étalé selon un plan comme une crèpe.<br />
<br />
Mais d'autres observateurs passant par ce même point "p", à des vitesses différentes, pourraient n'en percevoir qu'une portion du passé, ou une portion de son futur, compactifiés, et devront à leur tour constater un autre film, et nommer un objet différent.<br />
<br />
Lequel de ces infinités de films est "légitime" ?Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-18825970333311498672011-01-07T07:45:00.001+00:002011-01-07T09:44:05.588+00:00Le monde de la formeIl faut comprendre l'expérience suivante pour atteindre le monde de la forme.<br />
<br />
O1... Oi sont des observateurs suivant une <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_d%27univers">ligne d'univers</a> Li. Ils filment tous pendant 1 minutes un film de 24 images / secondes. A l'événement p de jonction de ces lignes d'univers, ils en sont à 30 secondes de tournage (les lignes d'univers sont donc centrées sur p).<br />
<br />
Pour O1 le film F1 montre un cylindre. Mais "dans le passé" ce cylindre "en formation" était constitué d'éléments épars, et "dans le futur" il s'est contracté en une boule. O1 n'en a pas connaissance, et son film ne montre qu'un cylindre...<br />
<br />
Que donnent les films Fi pour chaque Oi ?<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyZRNpe9pbJ8ymHObWJRsyzeLxLkhzm0OSTG6r0ML5sFsUIZiv7o_4Tm2r0A5G1uT_5ztQF_GKGaZ1wJaSVJNUbm_8lmAhnrdh4uWi91392myE8BH6zPQUahDbUfAEdbsiWbOpjm6d120/s1600/Cylindre2.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="358" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyZRNpe9pbJ8ymHObWJRsyzeLxLkhzm0OSTG6r0ML5sFsUIZiv7o_4Tm2r0A5G1uT_5ztQF_GKGaZ1wJaSVJNUbm_8lmAhnrdh4uWi91392myE8BH6zPQUahDbUfAEdbsiWbOpjm6d120/s400/Cylindre2.JPG" width="400" /></a></div>On peut approcher le problème en se demandant, selon la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Relativit%C3%A9_restreinte">relativité restreinte</a>, et en considérant en première analyse uniquement les lignes d'univers Li à vitesse constante, que vaut ti par rapport à t1 lors de la prise de la nième image du film Fi.<br />
<br />
Les résultats possibles pour les films Fi sont tout à fait remarquables. Ils constituent une étape importante pour comprendre le monde de la forme.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-73903382583044721832010-05-09T11:39:00.001+01:002010-05-12T08:16:25.473+01:00Un espace de courbesLa température comme la vitesse n'est que la mesure globale d'un déplacement à somme nulle (il n'est pas pareil de faire des aller-retours rapides, ce qui donne une température, que de rester immobile, l'énergie, on le voit, n'est pas la même...).<br />
<br />
C'est effectivement un déplacement dans l'espace et le temps selon une description causale particulière, définie dans un repère à 4 dimensions.<br />
<br />
Si par contre je la décris comme une observation dans un espace à 5 dimensions entre l'observateur et son objet d'observation, je décris une causalité différente, où je dois tenir compte non plus d'une vitesse 4-dimensionnelle, mais d'une vitesse 5-dimensionnelle comprenant 4 dimensions globales et une locale, qui se définit par rapport aux dimensions globales, comme étant le temps propre de l'objet considéré, ou à minima une combinaison d'espace-temps propre de l'objet considéré, dimension pseudo-libre mais exactement comme le sont l'espace et le temps en RG, qui ne sont pas totalement libres l'un par rapport à l'autre.<br />
<br />
Exactement comme si au lieu d'avoir des plans superposés pour décrire l'Univers, je définis un enchevêtrement de courbes unidimensionnelles finies, ayant un début et une fin et qui correspondent à l'Histoire de vie de l'objet considéré. Les plans ne sont alors plus que la manifestation d'une projection 4 dimensionnelle de cet espace de courbes finies.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhitJnhzJHXcqLxJf1XsdCIAl6MKzuaGmOkW363Tbpq6C51MIMgQVyYIaOhB3aCxg2bITkYE9bZ0ssOyYoj-zy8g1P2Lz-5QhIqhw4uO9bPeqChgw4JXbBNH8umrkSsK9lRRdLRPuygwMw/s1600/420px-H%25C3%25A9raldique_meuble_Gerbe_de_bl%25C3%25A9.svg%5B1%5D.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhitJnhzJHXcqLxJf1XsdCIAl6MKzuaGmOkW363Tbpq6C51MIMgQVyYIaOhB3aCxg2bITkYE9bZ0ssOyYoj-zy8g1P2Lz-5QhIqhw4uO9bPeqChgw4JXbBNH8umrkSsK9lRRdLRPuygwMw/s400/420px-H%25C3%25A9raldique_meuble_Gerbe_de_bl%25C3%25A9.svg%5B1%5D.png" width="322" /></a></div><br />
<br />
Ce temps propre de l'objet considéré a un début et une fin, correspondant à la naissance et à la fin de l'objet, comme pouvant être défini par des caractéristiques considérées comme équivalentes entre ces deux extrêmes. Ces notions, si l'on pousse le relativisme jusqu'à ses conséquences ultimes sont dépendantes de l'observateur, et il ne faut pas s'étonner, si, étant donné des trajectoires ou des conditions propres trop éloignées, deux observateurs n'arrivent pas à se mettre d'accord sur ces extrémités, ni même sur la qualité "d'objet" pseudo-indépendant d'observation.<br />
<br />
Deux observateurs n'arriveront ainsi à un consensus, que s'ils sont peu ou prou dans le même pseudo-espace-temps relatif, à des températures équivalentes.<br />
<br />
Et selon les changements de vitesse et/ou de température subies par cet objet, le temps propre associé change plus ou moins rapidement par rapport au temps global de référence (horloge de référence de l'observateur).<br />
<br />
Il nous faut alors changer les concepts !<br />
<br />
Quand la courbe liée à l'observateur, considère un "même" objet qui change de température, il doit considérer alors que cet objet avance ou recule par rapport à son horloge, qu'il va donc dans le futur quand il chauffe, et qu'il reste "skotché" dans le passé s'il refroidit.<br />
<br />
Les trajectoires des objets, et toutes leurs relations causales n'ont alors plus rien à voir !!! C'est toute l'approche générale de l'objet même, qu'il convient de ramener à de simples points inclus dans des courbes finies <i><b>PREDEFINIES </b></i>!!!Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-53337240251743702732010-04-23T17:08:00.001+00:002010-04-24T08:19:02.917+00:00La RG et la MQ sont incompatiblesRG et MQ sont incompatibles parce que la relativité du temps et de l'espace n'est pas compatible avec l'absolutisme particulaire...<br />
<br />
Reprenons. Si l'objet électron est parfaitement défini en MQ et ne saurait être autre chose qu'un électron, quand bien même pour en décrire parfaitement la nature et ses liens causaux, on fait appel à des notions de présence probabiliste et de "sauts quantiques" quant à ses définitions de mesure, qui en "floutent" les contours...<br />
<br />
Mais par ailleurs la RG nous explique parfaitement qu'Espace et Temps étant relatifs, on doit admettre que pour toute portion d'espace finie dans un repère, il existe toujours un repère pour lequel cette portion d'espace sera à considérer comme très petite, ou très grande, avec des horloges parfaitement différentes, et pour tout dire une relation géométrique entre les points totalement changée. Cet électron initialement défini, n'a plus de propriété mesurable selon des repères bien choisis.<br />
<br />
Pourtant la démarche de la RG n'est pas complète quand on tempère son relativisme lorsqu'il s'agit d'approcher des singularités inévitables que sont les trous noirs, et de façon plus générales, les conditions aux limites, qu'il amène à réifier ("Il y a" un "Big Bang", et "il y a un "trou noir").<br />
<br />
Il y a donc un chemin où il faut aller pour dépasser ces contradictions apparentes entre "ce qui est" et "ce qui est relatif", en poussant la démarche jusqu'à ses conséquences ultimes, "Tout ce qui est, est relatif", à savoir que le contenant est relatif au contenu, et le contenu est relatif au contenant, l'arbitre étant l'observateur et sa propre trajectoire spatio-temporelle qui in-fine est unique, et totalement relative elle aussi.<br />
<br />
Il ne suffit donc pas de transformer les Lois de la Physique qui ne sont qu'une transformation incomplète entre deux repères définis par deux observateurs sur deux trajectoires différentes, mais il faut définir une transformation des contenus, à savoir les objets mêmes de la physiques qui ne sont pas réifiables comme "brique de base" de la réalité, mais parfaitement relatifs au système de motivation et à l'histoire phénoménale observée.<br />
<br />
Cette histoire phénoménale observée est relative, et constitue la trame de la description causale qui induira la théorie déduite, dont la forme dépendra pour l'essentiel du CHOIX des objets ET du contenant souhaités pour cette démarche.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-74162671408267473442010-02-12T13:29:00.001+00:002010-02-12T14:25:20.705+00:00Système formel et motivationTout système formel est le produit d'une motivation donnée. Par ailleurs Gödel nous démontre par son théorème d'incomplétude que tout axiomiatique d'une théorie (T) est incomplète, dans le sens où il existe toujours des vérités dans (T) indémontrables avec l'axiomatique de (T).<br />
<br />
Or cette axiomatique implique la vérité de la possibilité d'évolution temporelle de toute théorie, par ajout récursif d'axiomes.<br />
<br />
Ce qui nous intéresse alors ici c'est de considérer quel genre d'axiome pourrait venir compléter le cadre formé par la Mécanique Quantique + la RG, dans le domaine où leurs prédictions sont compatibles, afin qu'il puisse proposer un nouveau cadre permettant de les unifier, tout en sachant, qu'aussi précise que puisse être cette axiomatique, elle sera forcément elle aussi incomplète.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh7bCLbCesyCmRYqMxBdh7y8oiziZsZAeSEoxIP9Br_oHTz-IG2tXwi6ewdadEvEMp_9X9MlrehKgPiOKEXiugtDmRNT5eSZJDA-7DkTutnJx8a6CGrYj7t6iH1ctt-4dfxvE_c4bwLGx0/s1600-h/Space_syntax_-_Global_Integration_-_Brasilia%5B1%5D.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh7bCLbCesyCmRYqMxBdh7y8oiziZsZAeSEoxIP9Br_oHTz-IG2tXwi6ewdadEvEMp_9X9MlrehKgPiOKEXiugtDmRNT5eSZJDA-7DkTutnJx8a6CGrYj7t6iH1ctt-4dfxvE_c4bwLGx0/s320/Space_syntax_-_Global_Integration_-_Brasilia%5B1%5D.png" /></a></div><br />
Cet axiome est celui d'une cinquième dimension, qui représente la dimension de liberté de l'observateur quant à l'observation de tout système physique, y compris un espace 4D. La question ne se pose même pas quant à sa justification, puisque n'étant pas inclue par définition dans une théorie 4D que sont la RG et la Méca Q, la Cinquième dimension est indécidable d'un point de vue purement théorique, pouvant éventuellement se réduire à une dimension sans lien physique direct, elle pourrait n'être dans ce cas précis qu'un simple changement de référentiel quant aux objets étudiés.<br />
<br />
La question qui se pose c'est pourquoi ? Pourquoi chercher une formalisation dans le sens d'une cinquième dimension ? Et sur cette question, la réponse n'est pas une réponse factuelle. La réponse est évidemment une réponse empirique, expérimentale qui justifierait son adoption. Mais même cette réponse est incomplète, car il manque la dimension de la motivation. La motivation n'est forcément pas purement expérimentale, elle est aussi théorique !<br />
<br />
Parce que dans le cadre de la 5D où la liberté de l'observateur est l'axiome supplémentaire appliqué, c'est la motivation elle même qui est partie prenante de la formalisation, qu'elle soit empiriquement justifiée selon un système formel ou un autre, elle n'en fait pas moins partie du système formel ainsi défini.<br />
<br />
Donc la 5D implique un espace nouveau, où la formalisation dépend de la motivation qui sous tend la description des phénomènes, et où donc, quoique parfaitement logiques dans leur description et parfaitement complètes dans leurs prédictibilité phénoménales, les systèmes décrits n'ont pas la même finalité.<br />
<br />
On peut alors poser comme question fondamentale liée à cette formalisation : vers quel type de formalisation mène telle ou telle motivation, ce qui nous amène à définir le parcours de cette même motivation en rapport avec les autres axiomes, notamment l'espace et le temps, et sa dépendance quant aux systèmes auxquels elle s'attache le long de son évolution dans l'espace et le temps.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com8tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-5644569992007474542010-01-28T10:40:00.002+00:002010-01-28T10:40:56.022+00:00Qu'est-ce qu'un Big Bang ?<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw2zwrHgCwLkTWqiPqHjxRChVF2TpLXzzO8OijlLOTjv_GNazcngoYOFYNOLBBe2QMthuPVF16xCVEzf32AtgWKhZjPrUDNtqX2_V0Vvsyy39N-cVh1mJrl9g5-sz48fQB4KxQWFa0kl4/s1600-h/Big+Bang.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="246" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhw2zwrHgCwLkTWqiPqHjxRChVF2TpLXzzO8OijlLOTjv_GNazcngoYOFYNOLBBe2QMthuPVF16xCVEzf32AtgWKhZjPrUDNtqX2_V0Vvsyy39N-cVh1mJrl9g5-sz48fQB4KxQWFa0kl4/s400/Big+Bang.JPG" width="400" /></a><br />
</div>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-33883169881826979512010-01-26T15:06:00.004+00:002010-01-26T15:12:44.083+00:005D "Observateur Luminique" 2ème partieDans la première partie nous avons rapidement vu qu'à partir d'un repère R, et en prenant des repères R' de plus en proches de C en vitesse relative, nous en étions arrivés à la conclusion que notre étoile devenait quelque chose de plus en petit au sein du disque galactique, allant de plus en plus vite, et que le disque galactique n'étant pas lui même totalement stable enserrait l'étoile dans un petit volume "qui bouge". Ce qui est localisé et lent dans R devient non localisé et très rapide dans R' au sein d'un volume lui même indéterminé mais moins...<br />
<br />
Application dans R... Ce qui est visible petit, très petit, très rapide, non localisé, quoi qu'au sein d'un plus grand volume lui même non localisé mais moins, devient au niveau de ce point, pour un observateur local petit pour R, très grand, lent et déterminé. il n'y a aucune raison de ne pas en faire un lien symétrique si l'on veut considérer tous les repères comme étant équivalents.<br />
<br />
Et nous avons rapidement vu que dans R' proche de C, la galaxie devenait de plus en plus petite, jusqu'à ce que la communication se coupe où là elle semble par exemple se transformer en trou noir. A partir de là le R' considéré la voit comme un trou noir comparable à une transformation de type sphère de riemann, et donc dans R l'observateur R' doit considérer que seul un photon peut s'échapper... Le photon est moins une notion de nature de l'objet qu'un lien dimensionnel entre deux objets physiques dans deux espace 4D séparés du point de vue de la forme mais semblable du point de vue de leurs composants, au sein de l'espace 5D qui est un espace de formes.<br />
<br />
J'approcherai donc désormais un repère de référence en le nommant Rb pour "Repère Barycentrique" R' sera le repère "petit et rapide" avec son observateur relatif O', et R" sera le repère "grand et lent" avec O" son observateur relatif. Voir Rb selon R", équivaut alors à voir R' selon Rb.<br />
<br />
Nous allons alors étudier comment se transforme notre objet commun nommé "galaxie" dans Rb par Ob vu selon O', Ob, et O", que nous considérerons comme étant "à peu près" centrés au même endroit (mais comme on l'a vu "ça bouge" selon le repère considéré !!!). Imaginez pour ce faire que O' serait une structure atomique très petite avec son laboratoire très petit, O un homme avec son laboratoire, et O" des particules allant à la même vitesse + même direction dans un tube d'espace, selon O, organisées en laboratoire, aussi proche de C que l'on veut (pensez à des neutrinos par exemple, ou ce genre de choses, le passage au photon étant la limite de ce qui sera perçu, ou un simple "saut" quand il n'y a plus rien de "différent" à observer).<br />
<br />
<i>Suite au prochain post </i>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-5452617672317832142010-01-23T14:29:00.003+00:002010-01-23T20:47:35.450+00:005D "Observateur Luminique"Nous allons maintenant nous placer dans la 5D... Notre espace est donc défini en chaque point par R(O,x,y,z,t) où O est notre observateur de référence. Comme par définition O ne bouge pas par rapport à l'espace qu'il observe, nous devons considérer que son horloge fait référence où qu'il soit. En 5D nous avons donc un centre objectif pour tout l'espace = l'observateur. Puisque tout objet qui n'est pas immobile par rapport à lui dans l'espace N'EST PAS dans le même espace d'observation, il est soit à t+delta t, soit à t-delta t, mais pour de petites vitesses devant C, delta t est faible et donc cette distance temporelle ne prend pas tout son sens.<br />
<br />
En effet la Relativité nous pousse à décrire que R' (O',x',y',z',t') est tel que les distances spatiales et temporelles sont pour O' déduites de celles mesurées dans R en les multipliant par : Gamma = 1/racine(1-V²/C²), V étant la vitesse de R' relativement à R. Nous allons prendre ce résultat comme base.<br />
<br />
Notre travail va consister maintenant à tenter de comprendre ce qui se passe dans R et dans R' quant aux observations des "mêmes objets". Nous supposerons que V est très proche de C, aussi proche que l'on veut, parce que notre objectif final sera de "sauter le pas" pour nous plonger dans C totalement...<br />
<br />
Nous n'avons même pas à imaginer que O' accélère, il n'accélère pas, simplement nous considérerons des R' sucessifs à des vitesses de plus en plus proches de C. D'ailleurs l'accélération, <a href="http://espritscience.blogspot.com/2009/12/atteindre-c.html">même d'un objet continu qui perd de l'énergie régulièrement</a>, a une limite par rapport à un référentiel initial, puisqu'on est borné par C en vitesse. L'accélération ne saurait donc être constante, simplement, forcément, pour tout objet, elle passe par un maximum quel que soit l'objet continu considéré, par rapport au référentiel initial.<br />
<br />
Soit dans R l'ensemble des objets de vitesse faible par rapport à O. Alors dans O' ces objets sont transformés, écrasés selon la direction de V par Gamma, MAIS PAS SEULEMENT ! En effet l'horloge fait aussi que le t' de l'objet considéré est très petit ! Pour O' quand disons une étoile fait 1 milliard de tours sur elle même dans O, cela dure ... 0,001 seconde ou encore moins pour O' (aussi peu que l'on veut puisqu'on est aussi proche de C que l'on veut selon R').<br />
<br />
Ecrasé dans une direction de la taille d'une particule aussi petite que l'on veut... Et étalé dans la direction perpendiculaire à la direction de V de la taille d'une étoile et plus ! (la lumière émise par l'étoile, doit faire aussi considérer qu'un "champ" semble émaner de cette particule pour O'). Mais en sus "l'étoile" (c'est une étoile pour R) TOURNE très très vite... Et même CHANGE de place très très vite (pensez en 1 milliard de tours sur elle même combien de tours galactiques l'étoile fait ?), à tel point qu'il est impossible de savoir où et quand on peut la trouver à part "à peu près" pas trop loin de l'endroit où on l'a perçue un peu plus tôt... à l'échelle de la Galaxie pour R, à l'échelle du rayon galactique selon R', d'un facteur cos(teta)/racine (1-V²/C²) où teta est l'angle que fait V avec le plan galactique...<br />
<br />
Plus je prends un référentiel R' proche de C et plus ces notions de 1) rotation de l'étoile , 2) déplacement dans le plan galactique, et 3) écrasement de la distance selon la direction de V, font que mon étoile "perd une dimension" (écrasement d'une distance), et s'étale dans les 3 autres, la faisant ressembler à un truc qui se balade très très vite dans un petit un morceau de plan (le plan galactique), qui lui même étant "tournoyant" s'inscrit dans un petit volume...<br />
<br />
Petit, rapide, imprévisible, centré mais étalé aléatoirement dans l'Espace, ça ne vous fait penser à rien ? Moi si.<br />
<br />
A noter que sur de longues périodes de temps (dans R) on ne sait pas prédire ne serait-ce que le mouvement relatif de trois corps en "interaction gravitationnelle", pour cause de "cahos"... Dans R' cette indétermination prend des proportions considérables, quoiqu'il reste une présence relativement centrée autour du point de mesure initial (l'inertie dans R, se retrouve dans le centre aléatoire dans R').<br />
<br />
<b><i>INVERSEMENT.</i></b><br />
<br />
Ce qui paraît "Petit, rapide, imprévisible, centré mais, étalé aléatoirement dans l'Espace" pour R' est en fait une Etoile se baladant tranquillement à un rythme de tortue dans sa Galaxie pour R.<br />
<br />
R et R' étant équivalent, le voyage est bouclé... R et R' ne peuvent presque pas communiquer entre eux parce qu'il y a un brouillage de type "fractal", les mêmes choses sont là, exactement, mais n'ont pas du tout les mêmes propriétés ni spatiales, ni temporelles, ni donc même causales, ce qui est une seule chose dans R, semble être réparti un peu partout pour R' et inversement.<br />
<br />
Et pour C ? Eh bien pour C c'est simplement Lim "max" de R', et le brouillage est total. En effet tout volume dans R aussi grand que l'on veut, constitué des objets de vitesse < C, se voit réduit de plus en plus quand on se place dans un R' proche de C, toute l'histoire de R se trouve accélérée, toute la causalité de R est perçue de façon cahotique et indiscernable dans R', tous les objets semblant s'éloigner de plus en plus vers O le centre de R, point de fuite de V, nous avons là la constitution d'un trou noir. Ce trou noir constitué dans un R' ayant la vitesse V =quasi C /R , simplement un "saut" en fait très continu, dans un R' proche, constitue dans un repère un saut discontinu parce que spatio temporellement brouillé pour les mêmes raisons, de l'émission d'un photon, ou dans l'autre l'effondrement final d'un trou noir. Ces deux repères choisis coupent définitivement tout lien causal direct existant entre les deux repères R et R', quoique représentant exactement le même Univers...<br />
<br />
Ces deux repères R(O,x,y,z,t) et R'(O',x',y',z') se trouvent donc EXACTEMENT semblables d'un point de vue topologique / mathématique à une boule de Rieman posée sur une sphère, pour deux espace temps 4D, l'un plat, l'autre sphérique (relativement au premier) dans un espace 5D. Ces deux espaces sont EXACTEMENT LES MEMES, mais on passe de l'un à l'autre par une TRANSFORMATION DE TYPE RIEMANN.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br />
</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJrrMRIiiGwOKmV_AKztFcKklVIxFjmNahhEndo79_jUPKBd49h4K7dv3BO08wt6Aicl1e_pG7tJWKxx1ehlwpQhkgzbD7iMh_Nkyqg7_trFY1PhULohEzEpm-qFUnZKWspnz7pKwN5kk/s1600-h/sphere-riemann%5B1%5D.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJrrMRIiiGwOKmV_AKztFcKklVIxFjmNahhEndo79_jUPKBd49h4K7dv3BO08wt6Aicl1e_pG7tJWKxx1ehlwpQhkgzbD7iMh_Nkyqg7_trFY1PhULohEzEpm-qFUnZKWspnz7pKwN5kk/s320/sphere-riemann%5B1%5D.jpg" /></a><br />
</div><br />
Et pour être plus précis dans l'image comme je l'ai précisé en tout début de post, ce qui est perçu étant compris entre t-delta t et t+delta t :<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSS_GOVs1AnuRsI99Z9iaNdtmec9OwzEZ1UY4-y0HTS-MlNqX6wLx6rcU6IZ78gn-VcZHJj851F2cMUqTV05dTIf-eqE_T_JmexOtr129FE2azUAevVaEs3582lUGfDqzrZEXRUtrjWlQ/s1600-h/750px-Riemann_sphere1%5B1%5D.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSS_GOVs1AnuRsI99Z9iaNdtmec9OwzEZ1UY4-y0HTS-MlNqX6wLx6rcU6IZ78gn-VcZHJj851F2cMUqTV05dTIf-eqE_T_JmexOtr129FE2azUAevVaEs3582lUGfDqzrZEXRUtrjWlQ/s320/750px-Riemann_sphere1%5B1%5D.jpg" /></a><br />
</div>Tout ce qui est dans le plan R' file à C - en fuite par rapport à O - tandis que dans le plan R', R est un trou noir. Inversement, il existe un repère R" filant à C dans R' relativement à O' quelconque dans R' (c'est bien un type de changement de repère sphérique centré et pas "uniforme" dans une direction donnée !) pour lequel R' est un trou noir. Pour autant dans R" la transformation de R inclu dans R' n'implique pas du tout que R soit un trou noir dans R". C'est la transformation des objets de tout R, qui se retrouve spatialement étalée dans l'espace R".<br />
<br />
C'est pourquoi on ne doit pas parler de 5 dimensions mais de 10 directions. Ce n'est pas la même chose selon la vitesse relative dans R que de passer dans un R' à V ou -V, quant à la transformation de l'objet considéré. La direction de V prend un sens primordial. On ne peut plus raisonner sans la direction du vecteur.<br />
<br />
Il faut alors considérer chaque objet physique comme étant réellement 1) Etalé dans tout l'espace, 2) Centré aléatoirement et 3) Constitué d'une énergie massique ou pas<br />
<br />
Espace, Centre, Energie, sont donc les trois seules dimensions qui nous permettent de transformer tout objet spatialement étalé au sein d'un espace de référence R, en le composant unique ou mélangé à d'autres objets dans R', par une transformation de type <i><b>Sphère de Riemann...</b></i><br />
<br />
<i>La suite bientôt ami lecteur (je sais tu n'es pas nombreux, et alors ?! :) )</i>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-2285095694205822052010-01-17T08:34:00.001+00:002010-01-17T08:35:45.124+00:00Forme et InterprétationLe tour qu'à pris l'interprétation de la théorie Relativiste, a consisté à donner une "existence en soi" aux corps physique. A tel point que, refusant d'intégrer la relativité jusqu'à ses conséquences ultimes on en est arrivé aux interprétations suivantes :<br />
<br />
- La masse inerte d'un corps est invariante par changement de référentiel (on écrira "masse au repos" pour désigner la masse du corps considéré comme existant par lui même et donc "invariant" selon l'observateur, donnant ainsi "corps" à un référentiel privilégié pour considérer le corps étudié...)<br />
<br />
- Inversement on a alors dû donner à l'énergie une place relative afin de "garder" le corps "intact" par changement de référentiel, l'énergie devient alors "relative"... Ce point de vue et cet interprétation ne sont pas compatibles avec la 5D.<br />
<br />
- Ces notions ont conduit à donner une réalité dogmatique à la conception atomiste du monde (on cherche une "brique ultime" constituant la réalité) sous forme d'atomes, puis de quarks, puis aujourd'hui de "cordes" que l'on peine à faire émerger dans un monde à "10 dimensions"... Cette piste est erronée, parce qu'elle tente de donner à la réalité une nature indépendante de l'observateur.<br />
<br />
- On en arrive forcément à séparer la description du monde en deux parties séparées (et plus), constituée des corps allant à des "vitesses inférieures à C", et des "vitesses allant à C", du fait de la mesure constante de la vitesse de la lumière quel que soit le référentiel. Pourtant cette interprétation de la mesure de C n'est valable que dans un domaine de vitesses proche de l'expérimentateur de référence.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXB59yNOi4ZX35ZAyAc__ayfnrvWSf6abfd3alGVyh9OVb9Y_QCwr41eoCgj03-ldCfEBEvDZuVg2Uqqa15TXkMeT3ZNunFl7TSMi_XNWmNW1XMKvqeKzSqsIOu6AH-Ef9_xAnVBYQT8Q/s1600-h/Photon3%5B1%5D.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgXB59yNOi4ZX35ZAyAc__ayfnrvWSf6abfd3alGVyh9OVb9Y_QCwr41eoCgj03-ldCfEBEvDZuVg2Uqqa15TXkMeT3ZNunFl7TSMi_XNWmNW1XMKvqeKzSqsIOu6AH-Ef9_xAnVBYQT8Q/s320/Photon3%5B1%5D.jpg" /></a><br />
</div><div style="text-align: center;"><i>Le photon considéré comme corps physique "à part" dans la Relativité 4D... A quelle surprenante révélation nous pousse la 5D quant la nature du photon ?</i><br />
</div><br />
La 5D interprète les corps physiques comme étant relatifs à l'observateur considéré, qui lui même est relatif. La 5D n'aura pas de peine à considérer l'observateur comme changeant dans le temps en tant que somme de ses parties. Ainsi seul un "quelque chose" permet de faire le lien entre deux référentiel, et ce "quelque chose", n'est pas les corps physiques, il convient alors d'étudier ce qui se passe on considérant la réalité sous un angle global où l'observateur en est partie intégrante...<br />
<br />
Pour ce faire nous allons devoir faire deux voyages extrêmes. L'un vers C, et nous allons atteindre C avec un observateur changeant, comme dans la réalité, pour décrire ce qui passe alors. Et l'autre vers V=0, mais le vrai V = 0, là où relativement à l'observateur de référence, l'observateur en voyage voit non seulement sa position s'annuler, mais aussi et surtout son horloge. Nous verrons comment nous pouvons l'imaginer, le concevoir, le faire, et ce que l'on peut interpréter du résultat.<br />
<br />
<i>Suite lors du prochain post.</i>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-8799586657070186002010-01-12T11:32:00.007+00:002010-01-12T16:01:20.806+00:005D Ultimate Axiomatic DefinitionUn événement en 4D est défini comme "existant par lui même" sous entendu indépendamment du référentiel considéré, et in fine donc de l'observateur considéré. Ainsi il est défini en tant que tel, et ses coordonnées (p,t) position temps (4D) sont relatives. Ceci ne peut-être pour <i>au moins deux raisons fondamentales</i> :<br />
<br />
1) La contraction des longueurs qui fait passer tout objet au repos de rayon "r" dans une référentiel R, comme un objet ayant au moins une direction < longueur de planck = lp, dans un référentiel R' animé d'une vitesse > V tel que lp = r/(1-V²/C²)^1/2...<br />
<br />
2) L'observateur joue un rôle dans toute mesure (MQ).<br />
<br />
<b><i>A°) Je pose donc que l'espace temps n'est pas indépendant de l'observateur (et de sa trajectoire), qui joue le rôle de repère de référence en RG. Aussi un événement de l'espace-temps est défini selon 5 dimensions (O,p,t), 0 = Observateur de référence, p = position spatiale (x,y,z), t = temps</i></b><br />
<br />
Ainsi on ne peut définir un espace temps sans préciser son origine d'observation relative (observateur de référence), associé à son temps initial (t=0), et la dimension finale DF, et donc, le temps limite d'observation de l'objet considéré (DF = Ct).<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNX6L48YjwGB2Fq7CoI5bMpbLt2sbgxUWZ5EejWj90JFtLH4dOAoITaKtN9buIJZ4ItQDiPiBTpo80aJKUbzFfLTmrGdZ2PG29YZml_1TOsW-Ypp8lNPgLlBQlLjpYG6Rip7K3Ml7vp_s/s1600-h/p_einstein_time%5B1%5D.PNG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNX6L48YjwGB2Fq7CoI5bMpbLt2sbgxUWZ5EejWj90JFtLH4dOAoITaKtN9buIJZ4ItQDiPiBTpo80aJKUbzFfLTmrGdZ2PG29YZml_1TOsW-Ypp8lNPgLlBQlLjpYG6Rip7K3Ml7vp_s/s320/p_einstein_time%5B1%5D.PNG" /></a><br />
</div><br />
<br />
Une façon de comprendre l'importance de cette axiomatique est liée notamment à la définition d'une horloge : Comment définir une horloge au Césium à une époque où près du Big Bang (dans l'espace temps local) il n'y a pas de Césium ? Repousser le problème en définissant une horloge à l'hydrogène reporte la question au temps pré-hydrogène... etc... De la même façon, quand l'observateur de référence n'est plus disponible, ou que l'horloge de référence vient à disparaître, on doit se rendre à l'évidence, les conditions de l'observation ont changé, et l'on ne peut plus parler alors du même objet sans biais.<br />
<br />
<i><b>B°) Les composants (spatiaux, matériels - énergétiques) de l'espace temps changent de forme dans le temps, dans l'espace, ou par rapport à l'observateur considéré.</b></i><br />
<br />
La 5D abandonne l'idée d'un objet ou d'un événement existant "en soi", car selon l'observateur considéré, l'objet n'est pas observable. Il y a des objets non observables par un observateur de référence, et des objets non observés par des observateurs tiers.<br />
<br />
L'exemple de ceci tient à la symétrie, et on a l'exemple des neutrinos. Les neutrinos (objets non observables) interagissent-ils pas ou peu avec la matière, ou bien est-ce la matière (de référence), qui n'intéragit pas ou peu avec les neutrinos ? Il n'y a pas de choix possible, la symétrie nous impose une qualité de la matière (objet non observé) semblable aux neutrinos, dans le repère associé aux neutrinos.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-60664049612500585682009-12-28T11:36:00.007+00:002009-12-28T19:07:34.448+00:00Qu'est-ce qu'un objet physique ?Vous êtes circonspect à propos du post précédent ? Comment peut-on démontrer qu'on amène un objet physique à la vitesse C, alors qu'Einstein nous affirme qu'on ne peut amener une masse inerte à C sans une énergie infinie ?<br />
<br />
La réponse est que l'objet physique n'est pas correctement défini. Un objet physique "masse inerte" qui "subirait une accélération" soit par un choc externe, soit par une émission interne (fusée), n'est plus égal à lui même l'instant suivant. Il a acquis ou perdu de l'énergie, et on ne peut donc parler du même objet.<br />
<br />
Donc un objet physique a des caractéristiques potentiellement changeantes dans le temps. A partir de là, quand on définit la fusée comme "perdant son kième étage", on la définit in fine par son état final, quand elle a perdu tous ses étages et qu'elle est sur la vitesse finale escomptée. Qu'est-ce qui définit alors la continuité de la fusée par rapport à sa définition initiale à V=0 ?<br />
<i><br />
</i><br />
<i>Deux notions fondamentales (définition) :</i><br />
<br />
1) Son énergie totale finale Ef < E0 = Energie totale de la fusée + ses n étages de propulsion au départ).<br />
2) Son VOLUME (notion "d'isolement", de limitation, de frontière) on sait que la fusée se trouvait à t=0 en bloc ou en parties, et éventuellement sous d'autres formes énergétiques dans le Volume(0) contenant l'énergie totale E0.<br />
<br />
A partir de cette définition que puis-dire de ma fusée "énergie de rayonnement" finale, à t=0 ? Qu'elle a la même énergie totale Ef, et qu'elle se trouve dans le Volume(0). Où, et sous quelle forme ? Tout ce qui est possible doit être envisagé si on a pas d'autre information.<br />
<br />
Par exemple j'ai pensé à une fusée de même forme apparente extérieure, mais remplie de rayonnement, qui ouvre un sas vers le bas pour expulser du rayonnement et "accélérer", puis au final un sas s'ouvre vers le haut qui laisse échapper ce qui in fine est appelé la fusée...<br />
<br />
Cet exemple particulier montre que si la fusée in fine est le rayonnement, on peut considérer qu'à t=0 la vitesse de la fusée comme étant celle du volume(0) = 0, la somme des vitesses des photons pris individuellement ici peut-être vraiment n'importe quoi, et ne caractérise pas l'objet.<br />
<br />
L'objet final, la fusée, est donc in fine définie par la suite des volumes(tk) dans lesquels l'énergie se trouve avant de se retrouver à tn au largage du dernier étage fonçant vers l'infini à C. Pour des vitesses V = C on a donc des photons, qui avant d'arriver à C étaient une énergie quelconque mêlée à autre chose (l'étage qu'il faut larguer)...<br />
<br />
A suivre ...Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-25822221716708564852009-12-23T07:01:00.002+00:002014-07-31T06:57:28.831+00:00Atteindre C<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_H7UBbyxFjuzlLHXaT1bGn55m1CEZAZN-df60H2rpr8qf-9qsq-WFArQ4MZca2hlU1f1cQUQADZ0CZ1OFamkci7gvN8BQKdLuL6cjdWbzpR52ZM_WdbgvgHTYGsTKFF2lBLAWi_3wwRE/s1600/Fus%C3%A9e.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_H7UBbyxFjuzlLHXaT1bGn55m1CEZAZN-df60H2rpr8qf-9qsq-WFArQ4MZca2hlU1f1cQUQADZ0CZ1OFamkci7gvN8BQKdLuL6cjdWbzpR52ZM_WdbgvgHTYGsTKFF2lBLAWi_3wwRE/s200/Fus%C3%A9e.jpg" /></a></div>Facile...<br />
<br />
On peut atteindre C sans problème, et donc avoir y compris un observateur luminique. Démonstration.<br />
<br />
Décollage de la fusée à Kourou 14h00 masse M<br />
<br />
14h30 la Fusée perd son étage propulseur N°1, masse M = M - M1<br />
<br />
15h00 la Fusée perd son étage propulseur N°2 masse M = M - M1 - M2<br />
...<br />
20h00 la fusée perd son étage propulseur N°n masse atomique résultante: dM = M - M1 - M2 - ... Mn<br />
<br />
21h00 la fusée perd son étage propulseur atomique, masse dM(fin) = zéro, vitesse = C<br />
<br />
La fusée file à C jusqu'à rencontrer un observateur, ou bien l'observateur luminique file à C jusqu'à rencontrer l'oeil d'un collègue...<br />
<br />
Annotation du problème (<i>cf <a href="http://espritscience.blogspot.com/2009/10/esprit-es-tu-la.html">le post sur "Je(t)"</a> pour le même problème vu du côté spirituel</i>). <br />
<br />
En précisant que la fusée lâche ses étages, et atteint C lorsque les photons sont émis, je pose la question fondamentale : "qu'est-ce qu'un objet physique exactement ?", en prenant pour support l'ensemble du spectre possible des vitesses d'un objet parfaitement défini au départ, comme à l'arrivée, je pose la question d'un objet qui en est une partie (la fusée), qui est l'objet d'arrivée, mais pas celui de départ.<br />
<br />
Je pose une question équivalente à "trouver le barycentre d'un disque D1 duquel on a ôté un sous disque D2", où l'on trouve ce que l'on cherche en supposant le disque plein D = D1 + D2.<br />
<br />
Ici donc : qu'est-ce que la fusée ?Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com51tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-87304099507779832692009-12-18T18:30:00.001+00:002009-12-18T18:48:29.056+00:00Je pensais être le seul fouA oser m'attaquer à un truc aussi immense que la RG, la mécanique quantique, et l'esprit-information... Eh bien non ! Nous sommes au moins deux :)<br />
<br />
Bernard Dugas me signale le travail de Jean Pierre Petit qui arrive à la conclusion d'un Univers à 5 Dimension...<br />
<br />
Sous forme d'une <a href="http://www.savoir-sans-frontieres.com/JPP/telechargeables/Francais/univers_gemellaire/univers_gemellaire_complet.pdf">Bande Dessinée très bien faite</a>, ou d'une <a href="http://www.jp-petit.org/science/arxiv/CITV_1_acceleration_english.pdf">publication plus technique</a> ici.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhzdmVv3k8G-JZHIP_RHdKhlGJAExE9hCTyCQIbfs8myyI5hKZamybKZHI5aBi2UyhQqrBRdxQjcjaj7fArAvhL1PcjFb5KL7TT33pv26aJWU4OMK0IasGrh65wwfk-apVkpMqNEQygyE/s1600-h/JPPetit.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhzdmVv3k8G-JZHIP_RHdKhlGJAExE9hCTyCQIbfs8myyI5hKZamybKZHI5aBi2UyhQqrBRdxQjcjaj7fArAvhL1PcjFb5KL7TT33pv26aJWU4OMK0IasGrh65wwfk-apVkpMqNEQygyE/s320/JPPetit.JPG" /></a><br />
</div><div style="text-align: center;"><i>Jean Pierre Petit déduit d'une extrapolation mathématique des masses négatives à énergie négative qui remonteraient le temps.</i><br />
</div><div style="text-align: center;"><br />
</div>Je vais me pencher en détail sur ce magnifique travail, mais je dois dire tout de suite que la conclusion à laquelle je suis arrivé va encore au delà de ce résultat. En fait je pense sans aller beaucoup plus loin, intuitivement étant donné ce que je travaille, que ce résultat, peut être correct, mais représenter une des images informations parmi l'infinité qui sont solution de la 5D Theory, et qui dépendent du chemin parcouru par l'observateur.<br />
<br />
C'est enthousiasmant en tout cas !Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-57192105833847380252009-11-24T05:57:00.003+00:002009-11-24T12:41:13.844+00:00Cas d'une boulePrenons le cas non plus d'un disque, mais d'une boule, nous allons voir que le résultat est semblable sur le fond.<br />
<br />
Dans le cas d'une boule la masse homogène s'écrit : M(r) = M0.r^3/r0^3, c'est la seule chose qui change ! Et donc tout simplement on a :<br />
<br />
<div style="text-align: center;"><b>(r<<r0) (1-r.rs0="" (r="" dt1="racine" dt2="" r0²)="">r0) dt1 = racine (1-r2.Rs0/r0^3).dt2</r0)></b><br />
<b><r0) (1-r.rs0="" (r="" dt1="racine" dt2="" r0²)="">(r>r0) dt1 = racine (1-Rs0/r).dt2</r0)></b><br />
</div><br />
<r0) (1-r.rs0="" (r="" dt1="racine" dt2="" r0²)="">La seule chose qui change vraiment c'est donc à l'intérieur de la boule de matière où le facteur r2/ro^3 remplace r/r0^2, ce qui donne pour l'histoire de l'effondrement de la boule ceci pour les sphères temporelles :</r0)><br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_UFOz7XAT9T1W66AfXYZBbgiutlQ3zeyY0bI3WXvT_1A_YDj7dexP08-pklC5CAYXC3QMREEwANaQkYFnOq0p0vK5DFUjV1jePKUyqZad7c9-RBUUrlAKsAa1xYbUKTvCCuOeEkaELyo/s1600/Etude+Temps+Bouliques.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi_UFOz7XAT9T1W66AfXYZBbgiutlQ3zeyY0bI3WXvT_1A_YDj7dexP08-pklC5CAYXC3QMREEwANaQkYFnOq0p0vK5DFUjV1jePKUyqZad7c9-RBUUrlAKsAa1xYbUKTvCCuOeEkaELyo/s400/Etude+Temps+Bouliques.JPG" /></a><br />
</div>Voyez comme à la surface de la boule, au fur et à mesure que son rayon R0 tend vers son rayon de Schwarzschild, le temps sur cette surface tend vers zéro... Que peut bien signifier physiquement (et spirituellement ?! ...) un temps qui s'annule ? En quoi cette propriété remarquable joue sur les équilibres dynamiques de l'Univers ? Comment interpréter ce phénomène si l'on change de référentiel accéléré et donc d'horloge ? Est-ce qu'un temps relatif pourrait s'annuler pour un observateur mais pas pour un autre, qu'est-ce que cela signifie sur la nature même des objets massifs, classiques ou quantiques ? Cela permet-il d'envisager une fusion conceptuelle globale à partir de ce concept ?<br />
<br />
Une série palpitante aux frontières de l'esprit de la matière et de l'Univers, à suivre sur ce blog... :)<br />
<br />
<r0) (1-r.rs0="" (r="" dt1="racine" dt2="" r0²)="">C'est quoi au fait une boule qui s'effondre comme ça ? C'est simplement une étoile qui se transforme en trou noir (si elle passe sous Rs0 en rayon, elle devient trou noir)...</r0)><br />
<b><r0) (1-r.rs0="" (r="" dt1="racine" dt2="" r0²)=""><br />
</r0)></b><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYz8ReYFKvJSptfPX3_vSL5rsn0rsxpdek-StgNXpVMjiE5v-oy_dH_FljkJ6pdfZBl2WfxzJycGbdtMezXwOJQqVYVgUg-Qd2igo8Jf8-t81wsqG3zCK2CsrX-vLbQUjo4h7EnMyHdCQ/s1600/Soleil.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYz8ReYFKvJSptfPX3_vSL5rsn0rsxpdek-StgNXpVMjiE5v-oy_dH_FljkJ6pdfZBl2WfxzJycGbdtMezXwOJQqVYVgUg-Qd2igo8Jf8-t81wsqG3zCK2CsrX-vLbQUjo4h7EnMyHdCQ/s320/Soleil.jpg" /></a><br />
</div><b><r0) (1-r.rs0="" (r="" dt1="racine" dt2="" r0²)=""><br />
</r0)></b>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-32794151024360669682009-11-23T15:29:00.009+00:002009-11-24T12:41:51.672+00:00Sphères temporellesIl est fondamental et très important de se pencher sur le problème Relativiste pour avancer non seulement sur la 5D, mais aussi sur la nature de l'esprit. Nous attaquerons sur ce post le problème des sphères de temps associées à un disque de matière. Pour cela nous nous pencherons sur la notion de rayon de Schwarzschild, et son application directe à la mesure d'un temps dt1 compté à partir du centre du disque de matière (distance r), par rapport au temps dt2 d'un observateur très lointain de ce disque. Il s'agit du problème de la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Dilatation_du_temps">dilatation du temps</a> !<br />
<br />
Etant donné le disque de matière de masse et rayon (M0,r0) on a :<br />
<br />
<div style="text-align: center;"> <b>(r<<r0) (1-r.rs0="" (r="" dt1="racine" dt2="" r0²)="">r0) dt1 = racine (1-r.Rs0/r0²).dt2</r0)></b><br />
<b><r0) (1-r.rs0="" (r="" dt1="racine" dt2="" r0²)="">(r>r0) dt1 = racine (1-Rs0/r).dt2<br />
</r0)></b><br />
</div><br />
Avec Rs0 = 2GM0 / c² = "Rayon de Schwarzchild du dique de matière".<br />
<br />
En faisant l'hypothèse simple que le disque de matière est homogène, et donc que la quantité de matière à une distance r du centre est M(r) = M0.r²/r0², ce qui permet de retrouver le résultat pour r < r0, et pour r > r0 la quantité de matière à prendre en compte ne bouge plus M(r) = M0.<br />
<br />
Petit dessin galactique :<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWC9tadGHTOmh4CQeXzmtArwpEknFPdE-Jh6yjun5XkeAoMNCsbn-ms2tfAMhuS2HBWcKgzLCOxveE9FnF4NdAt9xbMVwbjH7KvVoBPgeHnR6WfINUIHsUBD4hhenUNGnawIpQzi6fIXM/s1600/Temps+Galactique.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWC9tadGHTOmh4CQeXzmtArwpEknFPdE-Jh6yjun5XkeAoMNCsbn-ms2tfAMhuS2HBWcKgzLCOxveE9FnF4NdAt9xbMVwbjH7KvVoBPgeHnR6WfINUIHsUBD4hhenUNGnawIpQzi6fIXM/s320/Temps+Galactique.JPG" /></a><br />
</div><br />
Et donc la fonction considérée prend cette forme pour dt1, pour une disque de matière égal à 10 fois son rayon de Schwarzschild :<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4uKncbZDvxYaXpzfj_S5UGb17TB4yLwu4zABgn2qvzhrbN-1m5TroN8JNxsPyYo7vTvh7a6T0rr95ZIq4oeDiXDj1JulObAtzi9f42Sv6Ksp8YDZ9D-yhJis20DNXvoAFY1tPjX96PrQ/s1600/Dilatation+temporelle.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4uKncbZDvxYaXpzfj_S5UGb17TB4yLwu4zABgn2qvzhrbN-1m5TroN8JNxsPyYo7vTvh7a6T0rr95ZIq4oeDiXDj1JulObAtzi9f42Sv6Ksp8YDZ9D-yhJis20DNXvoAFY1tPjX96PrQ/s400/Dilatation+temporelle.jpg" /></a><br />
</div><br />
Le pincement de la courbe correspond au bord du disque de matière...Où dans ce cas précis dt1 = 95% dt2, c'est à dire que le temps s'écoule le plus lentement au <b>BORD DU DISQUE</b> par rapport à l'observateur lointain, qui se trouve avoir la même horloge que l'observateur central (dt1 = dt2 au centre comme à l'infini...).<br />
<br />
Dans le cas d'un trou noir on a la courbe qu'à partir du pincement, vers la droite... Comme ceci : (r0 = rayon de Schwarzschild) :<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgPP6h2MJoYuvJXpE2tTJNvJy28y05F_qxb0kHWtd2nQ6bh0FAyQoVo067PTNFWywy2ibF6AcluNmFew1twwA3Qid1GfCNpapHylTCsr83-A6wcv6gI6BPDkM1fsPenE3_x5VB8GcqfLVo/s1600/Dilatation+temporelle+trou+noir.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgPP6h2MJoYuvJXpE2tTJNvJy28y05F_qxb0kHWtd2nQ6bh0FAyQoVo067PTNFWywy2ibF6AcluNmFew1twwA3Qid1GfCNpapHylTCsr83-A6wcv6gI6BPDkM1fsPenE3_x5VB8GcqfLVo/s320/Dilatation+temporelle+trou+noir.jpg" /></a><br />
</div><br />
Cela signifie que l'évolution normale d'un disque de matière suffisamment massif, propose des sphères temporelles dont les temps relatifs sont semblables à la première courbe, pour aller vers la deuxième... Il faut alors se faire le film de ce à quoi ça peut ressembler pour l'observateur lointain qui regarde ça...<br />
<br />
Voici la suite des courbes retraçant les sphères temporelles lors de l'histoire de l'effondrement du disque, par rapport à un observateur se tenant à 20 rayons de Schwarzchild d'un disque initial d'un rayon de 12 Rs.... Au delà de r0 les courbes se rejoignent toutes, ce qui est normal...<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7toayhyphenhyphenaoBlZ1W4b-yTHC3yFTp806NPXjMckPSC24-VUf6NSzKyDR8aoQkWCExlL-zD7BPmKkVEZi9A88X8I4qAyVVuDn_SmEWaYEv4hgGVgq66ZRZ2Tbqw_16IU9d-upJIAUoF2z6X0/s1600/spheres+temporelles+galactiques.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7toayhyphenhyphenaoBlZ1W4b-yTHC3yFTp806NPXjMckPSC24-VUf6NSzKyDR8aoQkWCExlL-zD7BPmKkVEZi9A88X8I4qAyVVuDn_SmEWaYEv4hgGVgq66ZRZ2Tbqw_16IU9d-upJIAUoF2z6X0/s400/spheres+temporelles+galactiques.JPG" /></a><br />
</div> Le temps étant relatif, je ne vois donc aucune différence entre l'intérieur d'un trou noir et l'expansion de l'Univers depuis le Big Bang... Il semblerait qu'il n'y ait de différence que de nature temporelle entre le dedans et de le dehors, où la causalité est différente dedans que dehors, elle n'est pas inversée, mais elle est différente. Je l'affirme parce que pour O2 il y a bien une différence notable entre l'évolution causale des phénomènes jusqu'au bord du disque, puis son évolution jusqu'au centre, mesurée grâce à son horloge qu'il suppose universelle, et qui le lie en fait à un point de vue causal relatif.<br />
<br />
La pince temporelle de bord du disque n'est pas différente qu'il soit un trou noir ou pas, c'est simplement le choix de l'observateur O2 de considérer une causalité égale entre le dedans et le dehors, qui le pousse à adopter la même horloge (définition d'une causalité égale), et qui donc ne sait pas décider de ce qui se passe sur la pince où ce temps relatif s'annule, tout simplement parce que son horloge (Césium par exemple) n'existe plus, et n'est plus à même de donner un signal, parce que le Césium ne peut aller à C, étant massif... alors que cette frontière est instable, toute particule qui s'y situe bascule d'un côté ou de l'autre, dans le trou noir ou à l'extérieur en fonction d'une vitesse directionnelle donnée, et qui est soit faible soit proche de C.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-42104296373693722412009-10-31T16:11:00.004+00:002009-11-07T17:40:49.460+00:00Esprit es-tu là ?Bon, le gros, le massif le lourd est géré, maintenant passons au léger, au subtil au furtif...<br />
<br />
Siddartha va nous aider, parce que là, très clairement, il n'y a pas photo, je ne reviendrai pas là dessus, les moines en Laboratoire, le Mind and Life Institute, Mario Beauregard, Krishnamurti et David Bohm, les références solides existent et si vous avez encore des doutes, je vous invite à les découvrir (cf liens dans le blog à ces sujets).<br />
<br />
Que nous dit Siddartha ? Que l'esprit a pour nature "l'absence d'existence intrinsèque", ouch... Une nature négative en fait, de quoi s'agit-il ?<br />
<br />
Il nous explique clairement : l'esprit reflète, comme un miroir, ce n'est donc pas "ce qui est perçu" ni son reflet c'est "ce qui perçoit". Et "ce qui perçoit" est "absence" = non, d'"existence intrinsèque". Ce n'est pas saisissable, c'est mouvant, furtif interdépendant, fluide, changeant... Comment le "voir" ou plus précisément le "réaliser" ?<br />
<br />
Siddartha nous dit qu'il faut calmer déjà le "grossier" qui nous empêche de le voir, de quoi s'agit-il ?<br />
<br />
Il nous dit, tout l'Univers peut se décomposer ainsi : 5 Agrégats, la forme, les sensations, les perceptions, la volition, et la conscience.<br />
<br />
La forme : l'arbre, la sensation : la lumière de l'arbre qui passe dans les yeux, la perception : la mise en forme de cette lumière comme "image de l'arbre" dans l'esprit, la volition : la capacité de l'esprit à se concentrer sur son objet, ici l'arbre (si votre esprit part ailleurs, il n'est pas "calme" il est agité, il a tendance à ne pas savoir rester en place sur un objet), la conscience : le fait que l'esprit se dit "cette image que je vois, sur laquelle ma volition est calée, que ma perception a construite à partir de la sensation de lumière qui provient de la forme de l'objet, cette image, je la nomme arbre, je la reconnais comme étant un arbre".<br />
<br />
Où est l'esprit dans ce processus ? Nulle part et partout à la fois. La conscience de "l'image interne de l'arbre" est furtive, instantanée, et n'est pas indépendante de l'arbre lui même, de la sensation liée à la lumière de l'arbre, de la perception de cette lumière, de la volition qui se cale sur cette perception. Et avant cette conscience, elle était là, potentiellement là, sans être là. Peut-on dire qu'elle était dans l'arbre, dans la sensation de la lumière de l'arbre, dans la perception, dans la volition avant que de se manifester ? Non, mais on ne peut pas dire qu'elle n'y était pas du tout non plus, parce que si on enlève un seul de ces éléments, alors elle ne se manifestera pas du tout !<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6swJ2B9Gs7G7Q_y7IT10h3ZOG03LGGV-J1RtuGjnTXlyeafI2S9ZQyI5L2zrC178n4ucr50sm9MGBSZ10gVyFMrjHzw6Ugsk5OHRZGGy91nvy96YYPFVok9UeWCHhGc_l28EWjWLVT64/s1600-h/vacuite04.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6swJ2B9Gs7G7Q_y7IT10h3ZOG03LGGV-J1RtuGjnTXlyeafI2S9ZQyI5L2zrC178n4ucr50sm9MGBSZ10gVyFMrjHzw6Ugsk5OHRZGGy91nvy96YYPFVok9UeWCHhGc_l28EWjWLVT64/s320/vacuite04.jpg" /></a><br />
</div><br />
<br />
L'instant de conscience est donc interdépendant, il dépend, de tout ce processus ! Mais pas seulement. Il dépend aussi de l'instant de conscience précédent. Comment cela ? Eh bien la volition, le fait que la conscience passe d'un objet à un autre, ou reste calée sur un objet, possède une certaine intertie (vérifiez par vous mêmes comment se comporte votre propre volition), une certaine continuité. Et la conscience aussi, passe de la conscience d'un objet, à la conscience d'un autre objet, quitte à ce que ce soit un non-objet (l'objet nul, l'objet zéro, l'absence d'objet). Vérifiez, (Siddartha insiste sur l'expérience personnelle pour bien comprendre, comme en mathématique le professeur vous incitera à faire les exercices et pas seulement à savoir le cours).<br />
<br />
Donc la conscience, le "je", cet instant furtif, mais qui s'enchaîne à un autre instant furtif, de proche en proche, n'est pas les 5 agrégats, mais en dépend, il n'en est pas distinct non plus, parce que si on les enlève, l'instant de conscience ne sera pas. Il est donc interdépendant avec les 5 agrégats.<br />
<br />
Peut-il s'auto-observer ? Non ! Et c'est cela sa nature : l'absence d'auto observation, parce qu'il n'existe pas par lui même., Ce fait que le "je", le point d'observation, l'esprit en tant que point unique d'observation, n'existe pas par lui même, comment l'expliquer autrement ?<br />
<br />
Le "je", cette conscience pourrait s'écrire disons physiquement par Je(t), et ce Je(t) est lié à son objet d'observation O(t-dt), qui en est distinct, interdépendant mais distinct. On pourrait écrire donc Je(t) <= O(t-dt), parce que l'objet n'est pas simultané avec le je qui l'observe. Et quand O = Je ou qu'on essaie de faire coïncider O avec Je, ça donne Je(t) <= Je(t-dt), mais on ne peut pas faire coïncider Je(t) avec Je(t-dt). Et donc Je(t) est toujours insaisissable, tout le temps, à jamais. L'observateur "subtil" le "Je" qui réalise sa propre absence d'observabilité, sa propre absence de possibilité de "saisie" de lui même, est pure observation, pure expérience, non objet, non saisissable, non définissable conceptuellement, parce qu'il ne peut pas s'observer lui même.<br />
<br />
Réduit à cette observation sans cesse renouvelée, il est pure absence d'existence autonome et pure observation renouvelée sans début ni fin, il est vacuité.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-6559502423395093272009-10-11T14:43:00.000+00:002009-10-11T14:43:27.953+00:00Evolution Corde Univers VibranteVoici une projection d'un Univers 5D pris à deux temps T = 0 et T = 13 milliard d'années.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjE0dS8gmE-tqrrWXLzl-C-i4IpGnP64GRH62HaDPmbgBa2LOIiafBbqKG0drLecpqsUGQHPN99p0vM4kdBxY3HR2rNBd7zLjhiqdi8AdIZzaMGzNV3YupcITlPdDMGdYZE4UlGMVuWnBc/s1600-h/Univers+Evolutif+Corde+Vibrante.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjE0dS8gmE-tqrrWXLzl-C-i4IpGnP64GRH62HaDPmbgBa2LOIiafBbqKG0drLecpqsUGQHPN99p0vM4kdBxY3HR2rNBd7zLjhiqdi8AdIZzaMGzNV3YupcITlPdDMGdYZE4UlGMVuWnBc/s320/Univers+Evolutif+Corde+Vibrante.JPG" /></a><br />
</div>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-18193945120654530812009-10-10T10:01:00.006+00:002009-10-10T14:19:54.198+00:00Temps Sphériques<h3 class="post-title entry-title"><a href="http://creationmonetaire.blogspot.com/2009/10/temps-spheriques.html"></a> </h3>Prenons la Relativité, qu'est-ce qu'elle suppose ? Par hypothèse que la lumière a une vitesse maximale et constante C, et en déduit que la lumière se déplace en "ligne droite", et que donc si elle dévie c'est en fait l'espace temps qui est courbe...<br />
<br />
Bon maintenant on pourrait approcher ce résultat d'une autre façon.<br />
<br />
On peut supposer - et c'est une hypothèse raisonnable - que l'espace est parfaitement sphérique, que la lumière suit toujours un équateur, et que l'espace local n'est pas courbé par la matière, mais qu'il s'agit uniquement de courbure de type temporelle.<br />
<br />
En effet, si je me place en position comobile, si je mets deux horloges H1 à proximité du centre d'un système massif, et H2 loin de ce centre, alors je constate que H2 avance plus vite que H1, cette interprétation est valide de ce point de vue.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIZyO8dqy_4CiN2zSX81SSxrHBgA8FwkWCKtPRMcnIOve8aCkVgnXqMc7gN4OOYIxgOs9yhyphenhyphenRt7gFSuyFbDvYPJNQqZgXnPu7KbojzKoiy6ngojsWog843wvGH3-yyNTJvOVrBSqOhu6_-/s1600-h/science-sphere-13%5B1%5D.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgIZyO8dqy_4CiN2zSX81SSxrHBgA8FwkWCKtPRMcnIOve8aCkVgnXqMc7gN4OOYIxgOs9yhyphenhyphenRt7gFSuyFbDvYPJNQqZgXnPu7KbojzKoiy6ngojsWog843wvGH3-yyNTJvOVrBSqOhu6_-/s320/science-sphere-13%5B1%5D.jpg" /></a><br />
</div><div style="text-align: center;"><i>Des observateurs comobiles à bonne distance d'un puits temporel</i><br />
<br />
</div>Je dois alors considérer que ce système massif local (par exemple une Galaxie), se comporte comme un espace 4D local complet, où des tranches sphériques 3D, se comportent comme un espace (3D+t) avec un temps universel - dans cette tranche -. Quand je considère deux atomes de Césium Cs1 dans une tranche sphérique (3D+t) T1 et Cs2 dans une tranche T2 plus éloignée, je constate que Cs2 a <u>une durée de vie plus courte que Cs1</u>.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhVIn5lfNR0uszmc7ktHBuoTROggDDl02cm88nwThQCwtk6haujP91vX_RXexIZeHviOysHmiQuCnbF9Y894-YsfOrpf0MOcNgnGKuBcKfDcs2_18_iVzKE3_WRiIHXpHee8VBfC0IZpGui/s1600-h/galaxydiagram-small%5B1%5D.gif" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhVIn5lfNR0uszmc7ktHBuoTROggDDl02cm88nwThQCwtk6haujP91vX_RXexIZeHviOysHmiQuCnbF9Y894-YsfOrpf0MOcNgnGKuBcKfDcs2_18_iVzKE3_WRiIHXpHee8VBfC0IZpGui/s320/galaxydiagram-small%5B1%5D.gif" /></a><br />
</div><div style="text-align: center;"><i>Une galaxie est un puits temporel local dans l'univers, le temps au centre s'écoule très lentement, puis accélère jusqu'à un maximum à l'extérieur du puits dans l'espace extra-galactique</i><br />
</div><br />
Ce qui courbe alors la trajectoire de la lumière n'est pas une courbure de l'espace qui est sphérique, mais des puits temporels locaux.<br />
<br />
Je peux alors considérer qu'il y a non pas un temps dans l'Univers mais des temps sphériques t locaux, qui ont des vitesses Vt différentes. De Vt = zéro à la surface des trous noirs, à VT = 1 par convention (Vitesse du temps comobile), essentiellement dans l'espace situé à bonne distance de tout puits temporel.<br />
<br />
Tous ces temps locaux sont observables et mesurables, leur vitesse d'action est Vt < VT, le temps t sphérique local est de la forme t = T x Vt/VT, avec Vt qui tend vers zéro à l'approche d'un trou noir.<br />
<br />
Je dois donc considérer l'Univers comme étant une sphère 3D en expansion dans <b>un espace 5D</b>, où il y a deux dimensions de temps, l'une universelle de temps T = âge de l'Univers, l'autre locale de temps t = (Vt / VT) T avec (t / T) < 1.<br />
<br />
Ces deux dimensions sont des mesures libres outre cette relation, car t dépend du temps T0 de sa création (ex : création d'une galaxie, d'un trou noir) pour commencer, et de la masse totale locale pour sa vitesse 0 < Vt < 1 (qui peut donc aussi varier selon l'origine choisie, et l'ajout ou pas de masse selon T à considérer).<br />
<br />
<b>On peut alors se visualiser l'Univers comme suit :</b><br />
<br />
<i>Un cercle de dimension spatiale posé à plat, vibrant localement comme la corde d'une guitare, qui grossit à chaque seconde et commence d'un tout petit cercle à T = zéro (le big bang). Les vibrations locales sont des puits temporels locaux que sont les galaxies, les Etoiles très massives, ou les trous noirs.</i><br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9WKqKWWWsOyaCViAkwM5JlAiGpKQYS3DnoolMe6SeAMWEbO_G-Wb7mrK8ay_3VivCulr-nRMtmd6FirFpKBGeO6l8Ynt5ZWRNTPgv5X7XHRdteKWik9hgRJywECw-Gw0AIpDO9v29F1I/s1600-h/Univers+Corde+Vibrante.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="165" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi9WKqKWWWsOyaCViAkwM5JlAiGpKQYS3DnoolMe6SeAMWEbO_G-Wb7mrK8ay_3VivCulr-nRMtmd6FirFpKBGeO6l8Ynt5ZWRNTPgv5X7XHRdteKWik9hgRJywECw-Gw0AIpDO9v29F1I/s400/Univers+Corde+Vibrante.JPG" width="380" /></a><br />
</div><div style="text-align: center;"><i> <b>Univers corde vibrante, Cliquez pour agrandir</b><br />
</i><br />
</div>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-79226904015858823752009-10-05T15:49:00.000+00:002009-10-05T15:49:20.084+00:00Expansion CosmiqueL'évolution de la densité de rayonnement et donc de la pression exercée par ce rayonnement sur un Volume V(t) depuis le Big Bang est quelque chose qui se mesure en 1/R(t)^4, où R est le rayon de l'hypersphère Univers dans laquelle baigne V(t).<br />
<br />
Pour vous faire une image en 3D, considérez une sphère en 2 dimensions, un volume serait alors représenté par un mini disque sur cette sphère. Ce minidisque recevrait alors une pression inversement proportionnelle puissance 4, au rayon de la sphère 2D sur lequel il est placé. L'univers en expansion, c'est la sphère 2D qui part de zéro (le big bang), et qui grossit dans le temps. Plus la sphère grossit moins la pression est forte, mais plus le disque est en fait petit par rapport à la surface totale de la sphère 2D.<br />
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<div style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgrp4dZiV_AWdFNOFTMu2hNkeHx1Aa0rKko_6fJcDVdf40604fWEA2VcMS4rufir3Ifh_mIMRwFJpxeLFIfVqOcpNBaMpPt8Y2PQunkY_PR5jHcsA5IJ60P2mHDtHs-RUWiXWjwdbS28Fo/s1600-h/bougie_sphere_reference%5B1%5D.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgrp4dZiV_AWdFNOFTMu2hNkeHx1Aa0rKko_6fJcDVdf40604fWEA2VcMS4rufir3Ifh_mIMRwFJpxeLFIfVqOcpNBaMpPt8Y2PQunkY_PR5jHcsA5IJ60P2mHDtHs-RUWiXWjwdbS28Fo/s320/bougie_sphere_reference%5B1%5D.jpg" /></a> <br />
</div>Maintenant considérons la chose suivante... Imaginons un Volume V(t), et considérons que ce Volume est sous pression en 1/R(t)^4 donc avec R(t) = Volume de la sphère d'espace de dimension supérieure dans lequel baigne V(t).<br />
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Et que cette force diminue V(t)... Ce qui semble logique...<br />
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Etant donné que l'expansion de l'Univers est équivalent à constater que les objets diminuent de volume les uns par rapport aux autres, et que l'on fait l'hypothèse que tout est dû à cette force, et à rien d'autre.<br />
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Quelle serait l'expression de la diminution de V(t) en chaque point de l'Univers en fonction de cette force en 1/R(t)^4 étant donné l'expansion constatée de l'Univers ?Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5023798866095760330.post-18043127391362737672009-07-30T14:41:00.003+01:002009-07-30T14:43:34.558+01:00Ordre en 5 dimensionsIl y a un certain ordre, dicté par la notion de température.<br /><br />Mais un ordre ne se définit que par rapport à un ordre supérieur.<br /><br />Selon cet ordre je peux alors constater l'évolution d'un objet 4D, un Univers, selon ses parties. Je peux alors voir des projections de cet Univers selon l'axe que je souhaite. Et si je souhaite en voir une partie projetée selon l'axe du temps (ordre choisit ici comme secondaire), je dois annuler localement le temps propre de l'observateur qui me sert de référence. Comment j'annule le temps propre de l'observateur ? Je dois abaisser son rythme d'évolution, et ça signifie baisser sa température.<br /><br />Un observateur c'est un objet d'ordre inférieur qui fait référence à un objet d'ordre supérieur dans l'espace 5D, où l'axe 5D représente l'axe probablement sans dimension, qui définit la liberté de choix de l'ordre (ensemble conceptuel ordonné) d'observation.<br /><br />Si j'évolue selon l'axe 5D, je change d'ordre, et je n'évolue pas dans le sens temporel classique, j'évolue hors du temps ou "au delà du temps".Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/07550047986665739779noreply@blogger.com0