jeudi 30 juillet 2009

Ordre en 5 dimensions

Il y a un certain ordre, dicté par la notion de température.

Mais un ordre ne se définit que par rapport à un ordre supérieur.

Selon cet ordre je peux alors constater l'évolution d'un objet 4D, un Univers, selon ses parties. Je peux alors voir des projections de cet Univers selon l'axe que je souhaite. Et si je souhaite en voir une partie projetée selon l'axe du temps (ordre choisit ici comme secondaire), je dois annuler localement le temps propre de l'observateur qui me sert de référence. Comment j'annule le temps propre de l'observateur ? Je dois abaisser son rythme d'évolution, et ça signifie baisser sa température.

Un observateur c'est un objet d'ordre inférieur qui fait référence à un objet d'ordre supérieur dans l'espace 5D, où l'axe 5D représente l'axe probablement sans dimension, qui définit la liberté de choix de l'ordre (ensemble conceptuel ordonné) d'observation.

Si j'évolue selon l'axe 5D, je change d'ordre, et je n'évolue pas dans le sens temporel classique, j'évolue hors du temps ou "au delà du temps".

mercredi 29 juillet 2009

De Broglie - Bohm

La théorie de De Broglie-Bohm va dans le sens de ce qui est décrit ici.

Considérons un moment l'idée que l'observateur est de même nature que le potentiel quantique. Ca n'est pas "matériel", c'est de l'ordre de l'information. Ca n'est pas matériel, et donc on peut considérer que c'est "hors" du plan physique habituel 4D. Cela signifie que si ça peut évoluer, au moins en partie, indépendamment de l'espace physique habituel 4D, donc relativement à un axe 5D.

Quelle est la nature de cet axe ? Il n'est ni de la nature de l'espace ni de celui du temps, c'est un axe purement informationnel, c'est un axe "d'ordre". L'information n'ayant de sens ordonné que par rapport à une base conceptuelle préalable, cet axe doit être considéré pour une expérience donnée comme étant lié à l'observateur de la dite expérience.

Dès lors la causalité bien que devant être exacte, est liée aux concepts qu'elle décrit, donc à la base conceptuelle, donc à l'observateur qui détient cette base.

J'ajoute qu'il y a une illustration avec l'effet "condensat de Bose Einstein". Quel est le lien ? Le condensat de Bose Einstein représente un état de la matière "ultra froid". Et que se passe-t-il dans cet état ? Dans cet état t = 0, ultra froid = temps arrêté - localement -. Et on comprend alors que dans cet état seul l'axe 5D permet une "liberté" une évolution.


Et que se passe-t-il dans cet état ? La matière est dans un état ... quantique.

mardi 14 juillet 2009

Hubble Quantique bis...

L'analyse des phénomènes à grande échelle nous conduit à postuler deux types de forces qui s'opposent. D'une part la gravité, ou courbure de l'espace temps qui font se rapprocher les objets, et d'autre part l'expansion de ce même espace qui les font s'éloigner.

L'analyse des phénomènes à petite échelle nous conduit à postuler que les objets ne sont pas précisément situés, mais que leur comportement résulte de l'évolution (et des interactions) d'un vecteur d'état donnant une probabilité de présence.

A grande échelle les vecteurs d'état ne sont pas utilisés parce que la précision prédictive des phénomènes ne varierait qu'à très grande échelle spatio-temporelle, typiquement des durées plus longues que l'âge de l'Univers. Cela invalide-t-il pour autant leur application à grande échelle ?

Inversement à petite échelle on a coutume de ne pas considérer la prédiction des phénomènes sous l'angle des déformations spatio-temporelles (courbure, expansion), parce qu'elles sont supposées négligeables en regard des dimensions de l'expérience.

Entre les deux, il y a l'observateur, qui dans le premier cas a un rôle négligeable, dans le deuxième un rôle encore incompris (problème de la réduction du vecteur d'état lors de l'observation).

Or, si l'on tient compte de ce dernier fait, et que l'on tente d'approcher l'expérience dans sa totalité, quelque soit l'échelle considérée, on peut-être amené à considérer l'observateur comme étant une variable libre supplémentaire de l'expérience, puisque selon qu'il modifie ou pas le contexte de l'expérience (l'espace - temps, la répartition des masses dans le contexte expérimental, la prise de mesure...), le résultat en sera modifié.

Aussi, il me semble qu'il serait judicieux d'envisager très sérieusement de modéliser les choses non pas en 4 mais en 5 dimensions, où la 5ème dimension est liée au degré de liberté de l'observateur dans l'expérience.

On doit alors considérer qu'un espace temps 4D communément appréhendé est une projection et non pas la totalité, et qu'en quelque sorte, d'un côté l'expansion de l'Univers, et de l'autre l'évolution du vecteur d'Etat, représentent l'évolution du plan de projection (l'espace 4D observé - A TERME), RELATIVEMENT, à l'axe d'évolution de l'observateur (typiquement j'ai envie de dire la courbe de sa trajectoire spatio temporelle).

Autrement dit pour observer réellement comment l'expérience évolue - librement -, il faudrait que l'observateur ne bouge pas DU TOUT (position ET temps propre = 0).

Dans ce cadre Expansion de l'Univers et évolution du vecteur d'état sont liés, ils représentent tous deux une projection de la 5ème dimension de l'expérience. Comme une ombre.

lundi 13 juillet 2009

Hubble Quantique ?

Considérons la magnifique expérience du pile ou face quantique.

Laissons tomber l'interprétation quantique, et tentons une approche à variables non locales.

Prenons l'expansion de l'Univers, la "constante" de Hubble H, dont rien ne dit qu'elle soit constante. Comment peut on d'ailleurs nommer constant quelque chose qui mesure des milliards d'années lumières de distances, représentant des bonds dans l'espace et le temps incommensurables, alors qu'on ne connaît sa valeur que depuis quelques dizaines d'années à peine, un instant infinitésimal par rapport à ce qui est observé ?

A t = 0 la particule est centrée, soit.

Puis elle évolue autour du centre, mais on doit alors considérer que son centre devient une sphère qui grossit autour du "point" initial. Suivant "l'expansion" locale de l'espace temps.

Dès lors la particule n'est pas de plus en plus loin de son centre, c'est le centre lui même qui grossit.

samedi 4 juillet 2009

David Bohm

Après avoir lu BitBol avec délectation, je me rends compte que le portrait qu'il fait des théories de David Bohm est très séduisant, même s'il se limite au niveau épistémologique.

Du coup je vais lire David Bohm dans le texte, c'est en route.

Pour résumer David Bohm a développé une théorie physique non locales à variables cachées, qui donne les mêmes prédictions que la mécanique quantique, sans rejeter "l'être" des objets physiques, mais qui conduit alors à délocaliser leurs propriétés.

Sa théorie est contextualiste, et c'est en cela qu'elle semble fascinante. Le trajet d'un objet est alors totalement déterminé par le contexte expérimental total dans lequel il se trouve. Ainsi une mesure point par point n'est pas accessible, parce que, faisant partie du contexte expérimental total, elle change le "champ informationnel" qui détermine le trajet de la particule.

BitBol pose alors la question épistémologique du choix, pourquoi rajouter une notion "d'être en soi" des objets, quand la mécanique quantique "simple" donne les mêmes prédictions expérimentales ?

Je pense que justement, cette notion donne une réalité physique à un nouvel objet qui est ce fameux "champ informationnel"... Et qu'on doit alors pouvoir non pas uniquement s'en servir en tant qu'outil prédictif, mais le prendre alors pour objet même d'étude en tant que tel afin de prévoir sa propre évolution et inverser la tendance.

Et que là, on tient quelque chose de fascinant !

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