La physique n'est pas - que - la recherche "d'invariants", qui est un point de vue tendanciel relatif.
Dans les domaines de la mécanique quantique, classique, restreinte et générale, il y a de façon évidente des "variants". Ainsi l'espace classique et l'espace RR sont des variants, l'objet de base de la méca Q "l'ondicule" et celui de la méca classique, "l'objet 3D" sont des variants... La causalité de chacun de ces ensembles est différente parce que portant sur des objets "variants" dans des espaces "variants".
Donc on peut dire aussi à l'inverse, que la physique est la recherche des concepts "variants" pertinents en fonction du facteur d'échelle spatio temporel choisi, qui permette de coller au mieux à la description des phénomènes observés.
C'est pourquoi il convient de faire deux choses complémentaires :
1) Chercher les "invariants" qui peuvent exister selon l'ensemble des cadres conceptuels de description des phénomènes (choisis par l'observateur selon le domaine étudié, et le facteur d'échelle considéré).
2) Chercher les "variants" qui peuvent donner la meilleure précision descriptive étant donné les "invariants" établis.
Les deux ne sont pas antinomiques mais complémentaires. Les "invariants" restent relatifs, mais fournissent le cadre dans lequel on définit des descriptions conceptuelles "variants". Le développement de cadres conceptuels "variants" permet d'affiner la description des phénomènes, et de chercher alors de nouveaux "invariants" qui pourraient "englober" cette innovation.
Ainsi en coordonnées comobiles on a des vitesses supérieures à C, et on a accès pour un facteur d'échelle défini à des espaces 4D locaux complets (ex : galaxies contenant un ou plusieurs trous noirs).
Ce qui donne pour la description un cadre conceptuel à 5 dimensions non symétriques, ou encore 10 directions.
mardi 10 mars 2009
Espace conceptuel
Un observateur - système pseudo isolé - a un début, une croissance et une mort (qu'il soit un appareil ou autre chose), dans le sens où il ne peut pas maintenir en l'état ses systèmes de mesure indéfiniment.
De sorte que l'observation est par nature, une vision temporaire des phénomènes, et ne saurait en AUCUNE façon en saisir une nature ultime permanente - intemporelle.
Il n'y a donc pas de point de vue qui ne soit centré sur l'observateur quant à l'observation de la nature.
Les galaxies ne sont pas "redshiftées", il n'y a pas de galaxies, il n'y a qu'un phénomène transitoirement observé qu'on nomme galaxie, mais qui n'a pas d'existence intemporelle, qui ne soit en rapport avec l'observateur qui le conçoit, et un observateur antérieur ou ultérieur, ou comobile placé à l'endroit idoine, ne conçoit pas d'objet "galaxie" dans son référentiel conceptuel descriptif, parce qu'il n'a pas, et n'aura jamais de mesure lui permettant de le concevoir.
Le bon référentiel pour mesurer le monde c'est celui qui a pour centre l'observateur, t=0 à la naissance de l'observateur avec les instruments de mesure correspondants.
A partir de là se développe un espace conceptuel objectal relatif par l'observateur, et une causalité qui est propre à cet espace conceptuel, et à son adéquation avec l'observation.
De sorte que l'observation est par nature, une vision temporaire des phénomènes, et ne saurait en AUCUNE façon en saisir une nature ultime permanente - intemporelle.
Il n'y a donc pas de point de vue qui ne soit centré sur l'observateur quant à l'observation de la nature.
Les galaxies ne sont pas "redshiftées", il n'y a pas de galaxies, il n'y a qu'un phénomène transitoirement observé qu'on nomme galaxie, mais qui n'a pas d'existence intemporelle, qui ne soit en rapport avec l'observateur qui le conçoit, et un observateur antérieur ou ultérieur, ou comobile placé à l'endroit idoine, ne conçoit pas d'objet "galaxie" dans son référentiel conceptuel descriptif, parce qu'il n'a pas, et n'aura jamais de mesure lui permettant de le concevoir.
Le bon référentiel pour mesurer le monde c'est celui qui a pour centre l'observateur, t=0 à la naissance de l'observateur avec les instruments de mesure correspondants.
A partir de là se développe un espace conceptuel objectal relatif par l'observateur, et une causalité qui est propre à cet espace conceptuel, et à son adéquation avec l'observation.
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